“La lumière luit dans les ténèbres, et les ténèbres ne l’ont point reçue” (Jean 1:5).
Le pasteur américain accusé à tort de terrorisme et d'espionnage par le régime turc a fait un récit franc de son calvaire dans un entretien vidéo avec WND, confiant que sa première année de prison l'avait "dévasté", au point qu’il perdit le goût de vivre.
S'il m'a été difficile de décrire Jean-Marc Berthoud au début de cet article, il m'est encore plus difficile de résumer en quelques mots sa contribution à la pensée chrétienne. Il n'a jamais voulu établir une nouvelle école de pensée intéressante ni développer des concepts idiosyncrasiques sur des problèmes théologiques ou philosophiques. Son ministère consistait à renforcer l'Église en résistant à tout mal, où qu'il se trouve, et à reconstruire une culture chrétienne saine, une culture fondée sur la réalité absolue.
Berthoud s'attache à mettre en évidence "l'unité des commandements et de la Parole de Dieu", à la fois par un exposé positif et par la confrontation d'objections anciennes qui persistent encore de nos jours. L'une de ses contributions les plus marquantes à cet égard est sans doute son analyse du Psaume 119, où il trouve cette unité exprimée de manière répétée dans le plus long psaume du Psautier.
Martin Selbrede incarne la fidélité à l’injonction de notre Seigneur : «Faites des affaires jusqu’à ce que j’arrive» (Luc 19:13, Nouvelle Bible Segond) ; et le champ de son occupation est extrêmement vaste. Il incarne également l’esprit de la Reconstruction chrétienne : selon les mots d’Abraham Kuyper, « Il n’y a pas un centimètre carré dans tout le domaine de notre existence humaine sur lequel le Christ, qui est Souverain sur tout, ne crie pas : 'C'est à moi !' »
Nous vous avions déjà parlé de la revue Mission qui, à l’occasion des élections présidentielles, s’est emparée de son bâton de pèlerin pour aller à la rencontre des candidats pour les interroger sur Jésus. À l’approche du second tour du scrutin, nous vous proposons de découvrir des extraits de ce que leur ont confié les deux candidats encore en lice.
Les chrétiens européens durant les années 30 et la Seconde Guerre mondiale n'ont pas été à la hauteur des défis de leur société. Toutes dénominations confondues ! Heureusement quelques figures d'exception ont osé la rupture. Au prix de leur vie la plupart du temps. Commémorer les 50 ans de la fin de la Seconde Guerre mondiale nous donne l'occasion d'une confrontation avec l'histoire peu glorieuse des Églises proches de notre sensibilité théologique. Une page d'histoire qui devrait nous donner à réfléchir sur certaines options politiques des chrétiens évangéliques d'aujourd'hui.
Parmi tous les candidats au rôle de l'Antéchrist qui sont venus et repartis, Emmanuel Macron, qui est devenu président de la France le 14 mai 2017, a généré plus d'articles à sensation liés à la fin des temps que tout autre dirigeant mondial ! Si un Joe Biden ou un Justin Trudeau, qui promeuvent pourtant tous les deux l'idéologie transgressive LGBT avec la même ardeur qu'Emmanuel Macron et s'attaquent également férocement à leurs opposants de tradition chrétienne en les criminalisant, exhibent également des traits antéchristiques, ils ne peuvent pas rivaliser avec Emmanuel Macron. C’est parce que Macron semble correspondre à bien des égards aux caractéristiques exactes de l’Antéchrist.
L’Église unijambiste du piétisme qui ne considère que le rapport vertical du chrétien et de l’église locale avec Dieu, rapport juste et indispensable à toute vie chrétienne individuelle ainsi que collective, est une Église qui s’est amputée de l’autre jambe, celle du rôle qu’elle et chaque chrétien doivent jouer par un rapport horizontal, dans le monde : l’Église dans la cité. À la place de cette deuxième jambe qui est celle qui devrait lui permettre d’être le sel de la terre et la lumière du monde, il se trouve une prothèse faite du bois de la compromission avec les points de vue du monde, afin de ne pas déplaire, autant aux païens en général qu’à certains chrétiens en particulier.
Beaucoup dans le christianisme américain aiment utiliser des mots ronflants sur le réveil - "un réveil national" - comme étant le seul moyen par lequel les maux de notre nation seront inversés ou guéris. Mais je vous soumets l'idée que même s'il y avait un grand réveil dans cette nation, nous ne verrions aucun changement dans le cœur des hommes se traduire par un changement dans les lois américaines.
John MacArthur, de l'église Grace Community Church de Sun Valley, en Californie, a rédigé une lettre ouverte dans laquelle il appelle tous les pasteurs à se joindre à lui pour prêcher contre l'immoralité sexuelle le 16 janvier 2022, en protestation contre la nouvelle loi démente que le Canada a adoptée.
La Lumière du monde 