apostasie, Christianisme, Eschatologie, Foi et politique, Thèéologie de la Réforme, Théologie

Macron au-delà de Jupiter, une figure d’Antéchrist

Par La Lumière du monde

Introduction

Pour le chrétien averti, il est notoire que notre époque est marquée par un antichristianisme exacerbé, pregnant, agressif dont se sont imbibées nos sociétés occidentales, de sorte qu’il reconnaîtra sans difficulté l’influence de l’esprit antéchristique. L’apôtre Jean nous avertit que depuis la première venue de Christ, plusieurs antéchrists sont déjà dans le monde :

Petits enfants, c’est la dernière heure, et comme vous avez appris qu’un antéchrist vient, il y a maintenant plusieurs antéchrists : par là nous connaissons que c’est la dernière heure.

1 Jean 2:18 (Louis Segond).

Il est dès lors extrêmement important à chaque époque d’identifier précisément l’Antéchrist, faute de quoi l’Église risque tout simplement de contribuer à sa pleine manifestation libre de toute entrave. L’exercice requiert discernement et capacité d’analyse, car il faut prendre conscience, comme le théologien réformé suisse Jean-Marc Berthoud le dit, que

le pouvoir politique ou religieux avec lequel l’homme impie peut temporairement s’identifier ne sera pas toujours le même. Le lieu d’attache précis du pouvoir antichrétien peut ainsi se déplacer et, en effet, se déplace souvent dans l’histoire. Au début de l’Eglise, il pouvait très vraisemblablement s’identifier avec ce que Paul appelle la Synagogue de Satan, pouvoir impie constitué par les autorités juives persécutrices des chrétiens. Plus tard, ce fut le pouvoir divisé des empereurs romains qui fut le point de mire de l’action de l’Adversaire.

C’est en effet ce déplacement institutionnel de l’action politique de l’Antéchrist que nous pouvons constater dans l’histoire moderne de la France.

Jean-Marc Berthoud.

S’il y a eu de nombreux antéchrists dans le passé, selon les Écritures, le plus grand dirigeant politique de l’histoire – l’homme impie (alias l’Antéchrist) – viendra d’Europe pour chercher la domination du monde et tromper d’innombrables personnes à l’approche de la venue de Christ en jugement (comme en l’an 70), ce qui précipitera la chute de l’Antéchrist et de Babylone.

Se pourrait-il que quelque part en ce moment même sur la planète Terre,  l’Antéchrist soit vivant, et que son ascension soit imminente

Parmi tous les candidats au rôle de l’Antéchrist qui sont venus et repartis, Emmanuel Macron, qui est devenu président de la France le 14 mai 2017, a généré plus d’articles à sensation liés à la fin des temps que tout autre dirigeant mondial ! Si un Joe Biden ou un Justin Trudeau, qui promeuvent pourtant tous les deux l’idéologie transgressive LGBT avec la même ardeur qu’Emmanuel Macron et s’attaquent également férocement à leurs opposants de tradition chrétienne en les criminalisant, exhibent également des traits antéchristiques, ils ne peuvent pas rivaliser avec Emmanuel Macron. C’est parce que Macron semble correspondre à bien des égards aux caractéristiques exactes de l’Antéchrist.

S’il ne fait aucun doute que tout le contenu du mandat d’Emmanuel Macron rassemble des traits fondamentalement antéchristiques, nous n’avions personnellement jamais songé un seul instant qu’il pourrait être cet Antéchrist final que prédisent les Écritures. Lorsque cette pensée s’est présentée à notre esprit il y a quelques mois en arrière, les événements très graves que nous vivons en France depuis presque deux ans avec la crise sanitaire de la Covid-19 ont soudainement pris une autre dimension, une signification eschatologique, et les yeux écarquillés et effrayés, nous avons commencé à réaliser les enjeux colossaux du combat spirituel qui se livre dans la France de Macron, héritière des Lumières.

Avant d’entrer dans le vif du sujet, il convient, en préambule, d’attirer l’attention sur deux points qui auront toute leur importance dans la suite de notre développement :

  1. La France des Lumières dans la trame eschatologique
  2. Les théories d’interprétation prophétique.

La France des Lumières au cœur de la trame prophétique

L’hypothèse d’un Antéchrist français ne nous semblait alors plus fragile, compte tenu du fait qu’il était naturel que la religion de l’Antéchrist frappée du sceau du nombre 666 (3 fois le chiffre de l’homme, 6) fût un prolongement historique du culte de l’homme introduit par les Lumières « avec leur rejet de la Parole de Dieu, leur rejet du Seigneur Créateur et Sauveur, Père, Fils et Saint-Esprit, et leur exaltation de l’Homme divinisé et prétendument autonome, de sa raison et/ou de ses sentiments » (Pierre Courthial). Ce qui en 1789 avait débouché sur la Révolution française et son fanatisme religieux et la Terreur pouvait et allait immanquablement engendrer les mêmes fruits amers à notre époque déchristianisée, mais avec une violence plus aiguë encore maintenant que l’orthodoxie du jour dans les Églises est de séparer l’Évangile et la politique et de considérer le piétisme comme l’expression la plus aboutie du « pur Évangile ». Le critique protestant de la Révolution française et homme d’État hollandais Guillaume Groen van Prinsterer l’avait bien vu :

Séparer l’Évangile et la politique me paraît une erreur très grave. Prenez-y garde ; d’autres sauront développer les conséquences de la séparation que vous prêchez. Votre morale russe, autrichienne, prussienne, deviendra malgré vous de la morale indépendante. Votre politique non-évangélique aboutira, malgré vous, à l’intérêt bien entendu, à la raison d’Etat, au culte même, s’il le faut, sanguinaire et féroce du salut public. Tous les scrupules s’évanouiront devant la loi, seule désormais inviolable de la nécessité politique. Les deux systèmes, le système révolutionnaire et le système chrétien, se résument dans leur devise ; où la raison d’État dit : « Il le faut », le chrétien répond : « Je ne puis. »

Il est deux axiomes de droit public au point de vue chrétien :

I. La loi divine est obligatoire; l’intérêt national quand même est donc une idole, une fausse divinité… [La loi divine] doit imposer silence à l’égoïsme, soit individuel, soit national.

II. L’Antéchrist de notre époque est l’idolâtrie du Moi, systématisé dans le rationalisme et la révolution.

« Rien de plus immoral que de séparer le droit de la morale » .

Guillaume Groen van Prinsterer [10].

Groen van Prinsterer avait compris que la Révolution française enfermait en elle le principe antichrétien par excellence et était donc la religion de l’apostasie.

La Révolution est la conséquence, l’application, le développement de l’apostasie. C’est la théorie et la pratique de l’apostasie qui a modelé la Philosophie et la Révolution du XVIIIème siècle.

« En place de la justice vint l’injustice, de la liberté la contrainte, de l’humanité la barbarie et de la moralité la décadence. »

« On ne saurait résister à la Révolution sans vaincre le principe irréligieux (=anti-chrétien) dont elle n’est que le développement logique.

« La doctrine de la Révolution est la religion de l’apostasie. »

Guillaume Groen van Prinsterer [10].

Des théories d’interprétation prophétique

Il est temps maintenant de faire quelques remarques à propos des théories d’interprétation prophétique. En effet, l’adoption plus ou moins consciente, plus ou moins assumée d’un schéma d’interprétation prophétique particulier peut empêcher une personne de parvenir à des conclusions pourtant évidentes. Deux exemples permettront d’illustrer notre propos : ceux qui considèrent que toute l’Apocalypse doit se lire selon une perspective prétériste refuseront d’emblée de lier les événements graves actuels à des références scripturaires – ils finissent par adopter une vision contingente, séculière de l’histoire qui ne s’intègre plus dans le flux historico-rédemptif ; il est à noter qu’un segment non négligeable de l’Église piétiste rejoint ce schéma d’interprétation de l’histoire de par sa spiritualisation des prophéties à outrance et son gnosticisme. Par ailleurs, les chrétiens qui soutiennent une théologie réformée ont tendance à n’accorder aucune signification scripturaire ni à Israël ni à l’islam, tous deux considérés comme des reliquats du dispensationnalisme. Ces deux exemples font bien ressortir l’importance des présupposés théologiques dans la compréhension de l’histoire et des actualités.

Depuis l’époque de la Réforme, il n’y a eu pas moins de SIX THÉORIES D’INTERPRÉTATION dominantes, chacune revendiquant pour elle-même la palme du mérite, et toutes réclamant le suffrage unanime de l’Église chrétienne. Nous les citons dans l’ordre suivant :

I. LA THÉORIE FUTURISTE ANTIPROTESTANTE

L’initiateur de cette théorie était un prêtre jésuite espagnol, du nom de Francisco Ribera, qui, en 1585, publia un Commentaire sur l’Apocalypse, dans lequel il s’efforçait de détourner l’application par les protestants des prophéties et des symboles de l’Apocalypse à l’Église de Rome. L’opinion avait mûri et beaucoup étaient convaincus que la « grande apostasie » dont parlaient les Écritures était le papisme, et que la « petite corne » de Daniel, l' »Antéchrist » décrit par l’apôtre Jean, l' »Homme du péché » mentionné par l’apôtre Paul et la « Bête » de l’Apocalypse étaient identiques. C’est contre ce point de vue que Ribera élabora la théorie dite futuriste. Elle est ainsi appelée parce qu’elle court-circuite la papauté, qu’elle met de côté presque tout l’immense intervalle de temps séparant la rédaction de l’Apocalypse et le futur lointain, et qu’elle soutient que les événements décrits à l’aide de symboles dans l’Apocalypse se réfèrent aux événements précédant ou accompagnant immédiatement la seconde venue du Christ. Elle fait valoir un parallélisme entre les événements représentés par les sept sceaux et les signes successifs de la venue du Christ, tels qu’ils sont décrits dans sa prophétie sur le mont des Oliviers. L’Antéchrist n’est pas considéré comme étant la papauté, mais comme l’infidélité.

II. LA THÉORIE DU PRÉTÉRISME ANTIPROTESTANT

Cette théorie fut élaborée par un jésuite espagnol, Alcasar de Séville, qui, en 1615, publia un ouvrage ayant le même but que Ribera, à savoir, écarter l’application par les protestants des prophéties et des symboles de l’Apocalypse à l’Église catholique romaine. Si Ribera s’efforçait de tout projeter dans l’avenir, Alcasar, lui, s’efforçait de tout reléguer au passé. Il s’arrête net dans le cours de l’histoire et voit tous les symboles apocalyptiques accomplis au cours des cinq ou six premiers siècles. Cette théorie revêt plusieurs formes.

  • La forme germanique néronienne : cette variante est ainsi appelée parce qu’elle date l’Apocalypse (point essentiel pour les interprètes) de la fin du règne de Néron, en l’an 67, et parce qu’elle est considérée comme telle par l’école critique et rationaliste des théologiens allemands et par le professeur Stuart en Amérique. Selon ce point de vue, l’Apocalypse ne peut se référer qu’au renversement du judaïsme et du paganisme, et au triomphe du christianisme, mais non à la papauté. La date précoce de rédaction, 67 après J.-C., permet d’argumenter que l’Apocalypse fait entièrement référence à la destruction de Jérusalem, qui a eu lieu en 70 après J.-C. ; et les six siècles, au renversement du paganisme et à la prévalence du christianisme, mais non à l’anéantissement de l’Église catholique romaine !
  • La forme papale domitienne, appelée ainsi parce qu’elle fixe la date de l’Apocalypse à la fin du règne de Domitien, en l’an 96, et c’est sous cette forme qu’elle prévaut dans la papauté. Bien entendu, cette forme de la théorie exclut l’application des symboles de l’Apocalypse à la destruction de Jérusalem, qui s’est produite vingt-cinq ans avant cette date, dans la mesure où les événements relatés devaient se produire après l’époque où Jean écrivait (Apocalypse 4:1). Il n’est pas du tout question de la chute du judaïsme et de la fin de l’Église catholique romaine, mais seulement du renversement du paganisme et du triomphe du christianisme.

Ces deux formes de prétérisme (dont la dernière a encore une grande part de vérité) sont tellement vagues et ont un contenu si général que n’importe quel interprète a devant lui un précédent pour appliquer les symboles de l’Apocalypse à la destruction de n’importe quel ennemi du christianisme. Une telle élasticité et une telle flexibilité herméneutiques neutralisent de ce fait les prophéties bibliques pour le temps présent.

III. LA THÉORIE FUTURISTE MODIFIÉE

Cette théorie naquit de la conviction, dans l’esprit des futuristes eux-mêmes, qu’une grande violence avait été faite à l’Apocalypse, en la rendant complètement silencieuse sur le sujet de la papauté, et sur les événements mouvementés qui s’étaient produits depuis plus de mille ans. Un tel projet était trop audacieux pour échapper à une critique impitoyable et au ridicule. Il ne réussit pas à obtenir le respect et la confiance de ses propres partisans. Certains futuristes s’efforcèrent de le modifier, c’est-à-dire de protestantiser le futurisme et d’avancer sur le terrain de la conciliation en recherchant l’amitié des interprètes historiques. Les principaux points d’amélioration mis en avant sont au nombre de deux : 1. en ce qui concerne la projection radicale des prophéties bibliques dans un avenir lointain ; et 2. en ce qui concerne les antiprotestants.

En ce qui concerne l’antiprotestantisme, d’après cette théorie, le cheval blanc et le cavalier du premier sceau représentent la progression triomphante du Christ et de son Évangile jusqu’au temps présent : nous sommes proches du temps de la fin, lorsque la papauté deviendra la bête de l’Apocalypse, et Rome la Babylone de l’Apocalypse, mais pas l’Antéchrist ; et bientôt l’Antéchrist apparaîtra, lorsque les sceaux restants trouveront leur accomplissement, et alors la grande consommation aura lieu.

IV. LA THÉORIE TYPOLOGICO-SPIRITUELLE

Ce nom est utilisé faute d’une meilleure désignation, ou plutôt parce que ses partisans n’en ont pas donné eux-mêmes de satisfaisante. Selon cette théorie, les prophéties ne sont pas une anticipation de l’histoire, mais traitent uniquement de l’idée du bien et du mal. Un homme, une ville ou une nation en particulier peuvent être considérés comme le représentant ou le type d’une telle idée, qui doit s’accomplir, comme son nom l’indique, dans un sens élevé et spirituel, mais non dans un sens bas et historique. Les détails de l’histoire littérale sont considérés comme insuffisants pour satisfaire les critères annoncés des prophéties. Ainsi, la Rome papale ne répond que partiellement à la Babylone de l’Apocalypse ; et de même que l’ancienne Babylone n’était que partiellement le sujet des prophéties antibabyloniennes, de même la Rome papale n’est que partiellement le sujet des prophéties antipapales de l’Apocalypse. Dans tous les cas, il ne peut y avoir qu’un accomplissement historique imparfait ; et nous devons attendre la réalisation, non pas littérale, mais spirituelle, de la grande idée, à savoir la chute de la vraie Babylone, qui est le monde (!) et qui s’oppose à l’Église. L’influence de la philosophie idéaliste allemande, dans la création de cette théorie, est évidente.

V. LA THÉORIE DU SEPTENNAT PARALLÈLE

C’est l’une des deux principales théories protestantes qui ont divisé les opinions des interprètes orthodoxes. Elle s’oppose à ce que l’Apocalypse soit considérée comme un tout progressif dont les événements se succèdent sans interruption. Au lieu de considérer les sept trompettes comme le développement du septième sceau, tout comme les sept coupes semblent se rattacher à la septième trompette, elle les considère comme parallèles chronologiquement, et complémentaires les unes aux autres, chaque ensemble de sept allant de l’époque de Jean à la consommation. Il s’agit là d’un schéma éminemment ecclésial, l’Église elle-même étant le sujet des figurations prophétiques, dans sa phase septuple, du début à la fin. Cette théorie a été remise en question par le théologien allemand David Wängler, dit Pareus (1548-1622) et le théologien et hébraïsant hollandais Campége Vitringa (1659-1722) peu après la Réforme.

VI. LA THÉORIE PROTESTANTE DE L’HISTORIQUE CONTINU (HISTORICISME)

C’est la principale théorie qui a attiré l’attention des commentateurs les plus orthodoxes et les plus éclairés jusqu’au début de ce siècle. Elle considère la prophétie comme une anticipation réelle de l’histoire véritable. Elle considère chaque sceau comme consécutif au précédent, dans l’ordre chronologique ; chaque trompette et chaque coupe de la même manière ; et, par opposition à la théorie précédente, elle soutient que le septénaire des trompettes est postérieur au septénaire des sceaux, et le septénaire des coupes postérieur au septénaire des trompettes. Le schéma d’une Église unique dans ses différentes phases historiques est écarté, et l’Apocalypse est considérée comme exposant, dans une progression régulière et en détail, les principaux événements séculiers et ecclésiastiques de la dispensation actuelle. Une interprétation antipapale est donnée aux symboles et aux prédictions concernant la « Bête ». C’était la théorie des Vaudois, des disciples de Wycliffe et des Hussites, et la grande majorité des réformateurs du XVIe siècle – allemands, suisses, français, anglais – l’ont généralement reçue. C’était l’opinion de la grande majorité des presbytériens écossais. C’était aussi le point de vue de nombreux grands théologiens américains, de Jonathan Edwards aux théologiens de Princeton du XIXe siècle – les Alexander, les Hodges, Miller, etc. C’est avant tout la théorie de la Réforme, et elle a donc été violemment combattue par les catholiques romains, les prélatistes, les commentateurs rationalisants et autres ennemis des principes de la Réforme.

Il convient de faire remarquer enfin que l’eschatologie protestante exprimée dans les diverses confessions de foi était essentiellement postmillénariste. Il est regrettable qu’en francophonie cette position eschatologique non seulement soit devenue aujourd’hui minoritaire alors qu’elle était la position dominante dans les siècles passés, mais qu’elle soit écartée d’un revers de main rapide dans les milieux évangéliques, largement ignorée et méconnue quand elle n’est pas vivement rejetée et combattue comme étant hétérodoxe et antiscripturaire. La génération actuelle de chrétiens attachés à l’Écriture devrait prendre connaissance des arguments exégétiques et théologiques d’auteurs réformés ou puritains réputés du passé qui défendaient le postmillénarisme (dont John Owen), ce qui ne peut qu’élargir leurs perspectives spirituelles et leur faire comprendre pourquoi, Bible à l’appui, ces éminents hommes de Dieu qui connaissaient l’Écriture plus que la plupart des chrétiens d’aujourd’hui, avaient une vision eschatologique optimiste, différente de la vision dominante aujourd’hui.

VII. LE FLUX DE L’HISTOIRE DANS LA PENSEE JUIVE

Ayant esquissé un appel à la réhabilitation de l’historicisme postmillénariste de la Réforme dans les lignes qui précèdent, en tant que théorie ou cadre d’interprétation prophétique général, nous devrions regarder de plus près et intégrer d’autres indices et éléments qui viennent se greffer sur ce schéma général en lui apportant quelques affinements nécessaires. Parmi ces facteurs, nous pouvons mentionner les points suivants :

  • Plutôt que de soutenir de manière catégorique et dogmatique qu’une prophétie dans les Écritures ne peut avoir qu’une seule interprétation possible, mais plusieurs applications, force est de reconnaître qu’une même prophétie peut avoir de multiples accomplissements dans l’histoire, un immédiat, lié au contexte dans lequel elle a été écrite, et d’autres dans un futur plus ou moins lointain. Admettre cette possibilité qui est attestée par l’Écriture elle-même, ce n’est pas introduire une herméneutique artificielle qui ferait entorse au principe clé d’interprétation historico-grammaticale de la Réforme ; c’est plutôt reconnaître que sur ce principe se superposent plusieurs autres strates de signification qui, bien que découlant du sens littéral, vont au-delà du sens littéral strict.
  • Les portions prophétiques du Nouveau Testament devraient être lues avec le regard d’un Juif du premier siècle connaissant les figures métaphoriques fréquentes utilisées dans le langage hébraïque biblique, notamment dans les textes bibliques appartenant au genre apocalyptique.
  • La compréhension de la Parole de Dieu ne peut pas être contrainte par le seul critère de littéralité. Il existe tant d’exemples où des prophéties de l’Ancien Testament n’ont pas été comprises dans leur sens littéral strict par les écrivains du Nouveau Testament. Il y a une bien plus grande flexibilité permise par une herméneutique et une perspective essentiellement christologiques mettant en avant l’inauguration du Royaume de Christ depuis sa résurrection et son ascension. Il est donc prématuré de décréter par principe que tous les passages doivent être pris soit au sens littéral, soit dans un métaphorique. Chaque passage doit être étudié minutieusement à la lumière de l’ensemble des critères et de l’Écriture.

C’est à la lumière des racines hébraïques de l’Écriture que les remarques précédentes prennent sens, comme nous allons maintenant le détailler en nous appuyant sur l’analyse du Juif messianique Jacob Prasch [11]. En effet, le Midrash était la méthode d’herméneutique utilisée par les anciens rabbins à l’époque de Jésus et de Paul. Le Midrash incorpore une exégèse historico-grammaticale, qui présente des similitudes avec les modèles occidentaux d’interprétation biblique que les réformateurs ont inaugurés, mais il ne s’arrête pas à cette exégèse, la considérant comme une simple première étape nécessaire.
Dans son traitement des divers genres littéraires bibliques – tels que le récit, la littérature sapientiale, la poésie hébraïque et l’apocalyptique – le Midrash cherche à établir des relations entre les différents textes scripturaires afin de les interpréter à la lumière les uns des autres. L’approche est davantage thématique que linéaire.
L’ensemble le plus clair de directives dans le Midrash sont les Sept Midroth attribués au Rabbin Hillel, le fondateur de l’école pharisienne de Hillel, où saint Paul a été instruit comme rabbin par le Rabbin Gamaliel, le petit-fils de Hillel.
Le Midrash fait un usage intensif de l’allégorie et de la typologie pour illustrer et éclairer la doctrine, mais jamais pour établir une doctrine. Il voit des significations multiples dans les textes bibliques trouvées en strates, mais ceci est très différent, à certains égards et fondamentalement, des utilisations gnostiques et alexandrines de l’interprétation figurative associées à Philon et Origène, et reflète davantage une vision philosophique du monde et de la théologie hébraïque plutôt qu’helléniste.

Par exemple, Jésus est « l’agneau de la Pâque ». Le symbolisme de la Pâque juive illustre parfaitement la doctrine de l’expiation, mais la doctrine de l’expiation n’est jamais fondée sur le symbolisme. Le symbolisme illustre la doctrine, qui est elle-même énoncée clairement ailleurs dans l’Écriture. Dans le monde gnostique de la pensée grecque, c’est le contraire qui se produit. Les gnostiques prétendent avoir reçu une vision subjective et mystique – appelée gnose – des symboles. Ils réinterprètent ensuite le sens ordinaire du texte à la lumière de cette gnose. Pour les gnostiques, le symbolisme est la base de leur doctrine, contrairement aux anciennes méthodes juives.

Le Midrash interprète la prophétie comme un motif cyclique de récapitulation historique (les prophéties ayant des accomplissements multiples), avec un accomplissement ultime associé à l’eschaton, qui est le point focal final du processus rédempteur.
Le Midrash suit certains formats. L’un d’eux est le format Mashal/Nimshal que l’on retrouve dans les Proverbes ou les paraboles, où des choses physiques représentent des choses spirituelles. L’exposition midrashique figurative dans le Nouveau Testament peut être vue, par exemple, dans l’épître de Jude ou dans Galates 4:24-34. C’est le Midrash qui explique la manière dont le Nouveau Testament traite l’Ancien Testament.
Un autre format est celui des parashiyot ; des sections s’ouvrant sur une petihah dans laquelle un verset de base est suivi d’un commentaire. En plus du midrash exégétique, il existe des midrashim homilétiques, organisés en pisaqaot thématiques. Ils suivent souvent le format yelammedenu rabbenu utilisé par Jésus dans les évangiles. Ces deux types de midrashim sont haggadiques. Il existe également de vastes corpus de littérature midrashique qui sont halakhiques, mais ils sont de moindre importance pour l’étude du Nouveau Testament.

Prenons quelques exemples pour illustrer le concept biblique d’accomplissements multiples des prophéties.

Premier exemple : « cette génération ne passera point, que tout cela n’arrive » (Matthieu 24:34).

Jésus a dit, dans son Sermon sur la Montagne : “Je vous le dis en vérité,  cette génération ne passera point, que tout cela n’arrive” (Matthieu 24:34). Comme lorsque Jésus a parlé de la création de l’homme et de la femme au commencement de la création (Marc 10:6), Jésus nous donne ici une indication temporelle. Il n’y a aucune raison de ne pas prendre,  premièrement, ces paroles de Jésus dans leur sens littéral. C’est d’ailleurs ainsi que les théologiens du passé ont, pour la plupart, interprété Matthieu 24, mais étrangement, à notre époque, cette compréhension a été largement perdue de vue ou occultée, l’interprétation historiciste ou futuriste de Matthieu 24 ayant totalement éclipsé l’interprétation prétériste.

Bien qu’il soit nécessaire de prendre cette parole de Jésus premièrement dans son sens littéral, cela n’implique pas que son application soit exclusivement littérale. En plus de l’application historique locale confinée à l’époque de Jésus et à ses auditeurs immédiats (sans une telle application, Jésus serait pris en défaut dans ses paroles, ce que n’oublient pas de mettre en avant bien des sceptiques de la Bible), en vertu de la pensée juive qui n’a pas de problème à voir de multiples accomplissements de la prophétie, Matthieu 24 est aussi une prophétie de la fin des tout derniers jours où les mêmes motifs déjà accomplis lors de la génération des auditeurs de Jésus se retrouvent.

Deuxième exemple : “Quand Israël était jeune, je l’aimais, et j’appelai mon fils hors d’Egypte” (Osée 11:1).

Voyons maintenant le verset d’Osée 11:1 : “Quand Israël était jeune, je l’aimais, et j’appelai mon fils hors d’Egypte” et son accomplissement par le Christ tel que le comprend l’évangéliste inspiré Matthieu : “Il y resta jusqu’à la mort d’Hérode, afin que s’accomplît ce que le Seigneur avait annoncé par le prophète : J’ai appelé mon fils hors d’Egypte” (Matthieu 2:15).

Cet exemple va permettre d’illustrer et de bien comprendre le concept de prophétie dans l’esprit juif dans lequel la Bible a été écrite.

Lors d’une famine, Abraham partit en Égypte (Genèse 12:10-20). Dieu jugea Pharaon. Abraham et ses descendants sortirent d’Égypte, emportant avec eux les richesses de l’Égypte, et entrèrent dans la Terre promise. Les descendants d’Abraham vécurent la même expérience. Lors d’une famine, ils se rendirent en Égypte (Genèse 42). Dieu jugea à nouveau Pharaon, un roi inique. Les descendants d’Abraham sortirent d’Égypte, emportant avec eux les richesses de l’Égypte (Exode 12:36), et ils entrèrent dans la Terre promise.
Ce qui est arrivé à Abraham est arrivé à ses descendants. La même chose est arrivée à Jésus. Quand ils furent partis, un ange du Seigneur apparut en rêve à Joseph. « Lève-toi, lui dit-il, prends l’enfant et sa mère et fuis en Égypte. Reste-y jusqu’à ce que je te le dise, car Hérode va chercher l’enfant pour le tuer. » Il se leva donc, prit l’enfant et sa mère pendant la nuit et partit pour l’Égypte, où il resta jusqu’à la mort d’Hérode. Ainsi s’accomplit ce que le Seigneur avait dit par le prophète : « J’ai appelé mon fils hors d’Égypte » (Matthieu 2:16).
Matthieu dit que lorsque Jésus sortit d’Égypte, après la mort du cruel roi Hérode, cela accomplit la prophétie d’Osée : « Quand Israël était un enfant, je l’ai aimé, et j’ai appelé mon fils hors d’Égypte » (Osée 11:1-2). Très clairement, le chapitre 11 d’Osée parle de l’Exode, de ce qui s’est passé avec Moïse. Dans son contexte historico-grammatical, ce chapitre fait référence àl’Exode, et non au Messie. Mais Matthieu semble sortir ce passage de tout contexte raisonnable et le déformer pour le faire parler de Jésus.

Selon une herméneutique classique, l’interprétation que fait Matthieu du texte d’Osée serait considérée comme proprement abusive, mais l’idée juive de la prophétie n’est pas une prédiction, mais un modèle. Abraham est sorti d’Égypte lorsque Pharaon a été jugé ; ses descendants sont sortis d’Égypte lorsque le roi inique a été jugé ; puis un autre roi inique a été jugé et le Messie est sorti d’Égypte. Les prophéties se réalisent à de multiples reprises. Selon le Midrash, « Israël » fait allusion à Jésus le Messie. Lorsque nous voyons des versets comme : « Israël ma gloire et Israël mon premier né », il faut comprendre que ce sont des allusions midrashiques au Messie.

Puis, dans 1 Corinthiens 10, quelque chose d’autre se produit : nous sortons d’Égypte, qui, selon Paul, est un symbole du monde. Le pharaon, qui était déifié par les Égyptiens et adoré comme un Dieu, est un symbole du diable, le dieu de ce monde. Tout comme Moïse a fait une alliance avec du sang et l’a aspergé sur le peuple, Jésus a fait de même. Moïse a jeûné quarante jours, et Jésus a fait de même. Jésus est le prophète semblable à Moïse, dont la venue est prédite dans Deutéronome 18:18. Tout comme Moïse a conduit les enfants d’Israël hors d’Égypte, à travers l’eau, vers la Terre promise, Jésus nous conduit hors du monde, par le baptême, vers le ciel. C’est un motif historique.
Puis le cheval et son cavalier sont jetés dans la mer (Exode 15:1). Nous chantons le chant de Moïse – le cheval et son cavalier jetés dans la mer – dans Apocalypse 15:3. Pourquoi ? Parce que c’est encore un motif historique qui se répète. La signification ultime de la « sortie d’Égypte » est la résurrection et l’enlèvement dans les airs de l’Église lors du retour corporel de Jésus-Christ qui sera le point final de l’histoire. Les jugements qui se produisent dans l’Exode sont rejoués dans l’Apocalypse. Et tout comme les magiciens de Pharaon ont pu contrefaire les miracles de Moïse et d’Aaron, l’Antéchrist et le faux prophète contreferont les miracles de Jésus et de ses témoins. Les enfants d’Israël ont pris les os de Joseph avec eux lorsqu’ils sont sortis d’Égypte (Exode 13:19). Pourquoi ? Parce que les morts en Christ ressusciteront les premiers. C’est un motif historique.
Puis le cheval et son cavalier sont jetés dans la mer (Exode 15:1).

L’esprit juif ancien qui a produit le Nouveau Testament considère la prophétie, non pas comme une prédiction, mais comme un motif historique, un modèle. Pour comprendre ce qui va se passer dans le futur, il faut regarder ce qui s’est passé dans le passé. Il y a de multiples accomplissements, et chaque accomplissement successif enseigne quelque chose sur l’accomplissement ultime.

Application eschatologique

Ces quelques exemples auxquels pourraient être rajoutés tant d’autres suffisent à montrer les limites et insuffisances d’une herméneutique qui, s’arcboutant avec raison sur le contexte historique, évacue comme hors contexte d’autres strates de signification des prophéties bibliques en accord avec la conception juive de l’histoire. Il convient de rappeler encore une fois que l’idée hébraïque de la prophétie est un motif répétitif.  Elle n’est pas seulement une prédiction d’un événement unique, mais un modèle qui revient avec, en bout de ligne, un  accomplissement ultime. Ceci est le  concept hébraïque de la prophétie  eschatologique.

Dans Matthieu 24:15‐33 Jésus dit que lorsque vous verrez l’abomination de la désolation dont a parlé le prophète Daniel, alors vous saurez que la fin est proche. Le problème est que cette abomination de la désolation dont Jésus parle dans Matthieu 24 et dans Luc 21, le Sermon sur la  Montagne s’était déjà produite avant qu’Il n’en parle.

Jésus a célébré Hanukah dans Jean 10, la Fête de la Dédicace. Il savait tout au sujet du roi séleucide Antiochos IV, dit Épiphane qui, selon l’historien juif Flavius Josèphe, avait envahi la ville de Jérusalem, désacralisé le second Temple de Jérusalem et aboli le culte judaïque en 186-187 av. J.-C., allant jusqu’à sacrifier un porc, animal considéré impur par les Juifs, sur l’autel du Temple. L’abolition de la circoncision, l’obligation pour les Juifs de pratiquer le sacrifice d’animaux impurs à une divinité grecque, l’interdiction d’observer la loi mosaïque et la destruction des rouleaux contenant celle-ci, sont quelques-unes des autres mesures envisagées, ordonnées et imposées par Épiphane. L’aboutissement de cette politique sera la proclamation interdisant la pratique du judaïsme, ce que les Juifs considéraient comme étant « l’abomination de la désolation » mentionnée dans Daniel 11:31. Ainsi, l’abomination de la désolation prophétisée par Daniel avait déjà eu lieu pendant la période intertestamentaire, mais Jésus a pris cet événement et a prophétisé que cela arriverait encore. Jésus a employé le prétérisme : Il a pris un événement passé et en a parlé au  temps futur.

Mais dans la prophétie de Jésus concernant l’abomination de la désolation se trouvent également des éléments de l’historicisme. La lecture de l’historien Flavius Josèphe nous permet de découvrir comment les Romains ont  détruit le Temple : le fait qu’ils ont établi des symboles païens sur le Mont du Temple et leur ont voué un culte d’adoration était bien une abomination de la désolation. Par la suite, au IIe siècle, l’empereur romain Publius Aelius Hadrianus dit Hadrien a bâti une ville nommée Aerolinas Capitolina, et placé un temple de Jupitersur le Mont du Temple. C’était une autre abomination de la désolation. Le neveu de l’empereur Constantin, Julien II, nommé Julien l’Apostat par la tradition chrétienne, a essayé de refaire le monde païen de l’Empire romain et tenté de rebâtir le Temple. Plusieurs feux mystérieux ont éclaté sur le Mont du Temple :  c’était une autre abomination de la désolation. Et aujourd’hui, sur le Mont du Temple,  nous avons la Mosquée d’Omar, le Dôme du Rocher. L’on y trouve, en périphérie à l’extérieur, une citation du Coran : « Dieu n’a pas de fils. » Ceci est encore une abomination de la désolation.

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Ces réflexions livrées en préambule nous permettent maintenant de présenter au lecteur l’analyse qui suit des caractéristiques qui plaident en faveur de l’identification d’Emmanuel Macron à l’Antéchrist.

1. L’Antéchrist émergera soudain de l’ombre (Daniel 7:88:9). 

De nombreux articles d’actualité parlent de l’émergence fulgurante de Macron de l’ombre, apparaissant de nulle part ! Un an avant les élections françaises, Macron n’avait ni parti politique ni expérience électorale antérieure. Deux ans auparavant, il était pratiquement un inconnu. 

De plus, la France est dans le chaos suite à toutes les attaques terroristes et la candidate du Front national, Marine Le Pen, semble la seule réponse à la folie. Et pourtant, Emmanuel Macron a remporté une victoire écrasante sur Marine Le Pen lors des élections françaises. À 39 ans, il est le plus jeune président que la France ait jamais eu, et depuis 1958 et Charles de Gaulle, aucun président français n’a jamais remporté une majorité aussi puissante, prenant 351 des 577 sièges ! L’ascension de Macron a été tout simplement fulgurante. C’est en fait sans précédent. 

2. Le nombre 666 sera en lien avec l’Antéchrist et peut être calculé (Apocalypse 13:18). 

Selon le Dr E. W. Bullinger, «lorsque le nom de l’Antéchrist sera connu, sa gématrie sera sans aucun doute le nombre 666»

Pour citer Eli Lizorkin-Eyzenberg et Pinchas Shir dans leur ouvrage Hebrew Insights from Revelation [21] :

Le nom « Néron César » épelé en hébreu נרון קסר (neron qesar) donne un total de 666. Bien sûr, les noms d’autres personnes historiques pourraient correspondre à la même valeur numérique, donc il pourrait être argumenté que cela relève du hasard et que cela ne signifie rien. Mais curieusement, certains manuscrits grecs ultérieurs de l’Apocalypse comportent le nombre 616 au lieu de 666. Pourquoi ? Le nombre est un nom, et il a été délibérément ajusté pour correspondre à l’orthographe latine du nom de Néron – NERO CAESAR (en laissant tomber la dernière lettre « n » de NERON utilisée dans l’orthographe hébraïque). Cela ne fonctionnerait pas avec les autres noms proposés qui correspondent à la somme de 666. L’orthographe latine de ces noms ne correspondrait plus à la valeur numérique de 616. Le nom de Néron est unique à cet égard. L’identité de celui que représente 666 était connue de certains scribes. Ils ont intentionnellement ajusté le nombre pour que le symbolisme fonctionne en latin. Dans les milieux juifs, cette technique est appelée gématrie, un procédé littéraire souvent associé au mysticisme, aux choses secrètes et utilisé pour dissimuler délibérément la signification de quelque chose. La méthode est simple. En hébreu, les lettres sont aussi des nombres, donc A serait 1, B serait 2, et ainsi de suite dans un système séquentiel. Le résultat final est que tout mot peut avoir une valeur mathématique, qui est la somme des valeurs des lettres additionnées.

Eli Lizorkin-Eyzenberg et Pinchas Shir. Hebrew Insights from Revelation [21].

Ainsi, il y a un total de 36 (6) caractères dans le nom complet de Macron : Emmanuel Jean-Michel Frédéric Macron (32 lettres, 1 tiret, 3 espaces) [voir plus bas la signification de son nom au point 3]. Si l’on donne à chaque caractère une valeur de sa position et calcule la somme, l’on obtient 666 (1+2+3+…+ 36 = 666).

En outre, Macron a remporté la présidence française par 66,06 % des voix et a pris ses fonctions le 14 mai 2017 (le 69e anniversaire d’Israël en tant que nation qui renaît, ce qui relève d’une coïncidence incroyable).

Dans un message posté sur son compte Twitter, la présidente du Parti chrétien-démocrate Christine Boutin a souligné que 66,06 %, le score réalisé par le candidat d’En marche ! au second tour de l’élection présidentielle, pouvait être assimilé à « 666 », le chiffre du diable pour certains, ajoutant : « sans commentaire ».

Les médias (par exemple, le Huffington Post) aiment à se moquer du tweet de Christine Boutin et de son allusion au 666 du livre de l’Apocalypse. Ils mettent en avant le fait que les résultats définitifs consolidés par le ministère de l’intérieur donnent en réalité 66,01 %, mais ce n’est pas tant le chiffre exact qui importe, c’est plutôt celui de 66,06 % repris en chœur par tous les journaux le soir de la victoire d’Emmanuel Macron, chiffre devenu le symbole écrasant de cette victoire, chiffre qui a marqué les esprits et que retiendra la postérité. Mais il y a une probabilité très forte que Macron ait été élu par fraude et des techniques de manipulation, comme l’affirme un expert suisse dans la vidéo suivante de 13 mn 40 s :

3L’Antéchrist prétendra être Dieu et sera adoré (2 Thessaloniciens 2:3-4). 

Macron a déjà déclaré qu’il « gouvernera[it] comme le dieu romain Jupiter », en hommage au plus puissant dieu païen des panthéons romain et grec, le roi de tous les dieux des anciennes religions romaines (voir ici). En référence ouverte à cette affirmation, le propre surnom de Macron en France est maintenant « Jupiter » (Zeus).  Les autres noms qui lui ont été donnés sont : «Jésus Macron« , «sauveur de l’Europe» et «le nouveau Louis XIV» (ou le «Roi Soleil» réincarné).

Macron semble se délecter de l’attention, permettant même (en plaisantant) d’attirer l’attention sur l’origine de son propre nom «Emmanuel», qui signifie en hébreu «Dieu est avec nous». En fait, toutes les parties de son nom le désignent comme une sorte de Dieu ou de Jésus, excepté son nom de famille qui signifie un signe diacritique ! Étant donné que les parents de Macron sont athées, n’est-il pas un peu étrange qu’ils aient nommé leur enfant ainsi ?

En fait, il s’établit des parallèles troublants entre Jésus-Christ et Emmanuel Macron, ce que l’on s’attendrait à trouver si ce dernier était bien l’Antéchrist, c’est-à-dire l’Antimessie.

Tout d’abord, JÉSUS signifie « l’Eternel est salut et/ou l’Eternel sauve ».

Voici, la vierge sera enceinte, elle enfantera un fils, et on lui donnera le nom d’Emmanuel, ce qui signifie Dieu avec nous.

Matthieu 1:23.

Or, voici la signification du nom complet de Macron :

Emmanuel – Dieu avec nous.
Jean – don de Dieu.
Michel – qui est semblable à Dieu ?
Frédéric – « chef de la paix », « protecteur » ; vient du germain fried, « protecteur », et ric, « puissant », ou rik, « roi » (« Prince de la paix » est le titre de Jésus-Christ – Ésaïe 9:6-7).
Macron – ce qui signifie « marque ». Le macron est un diacritique en forme de barre horizontale, que l’on place généralement au-dessus d’une voyelle ◌̄ (Apocalypse 13 nous dit que « la marque… est le nom de la bête (Antéchrist) ». Coïncidence ou jeu de mots incroyable ?)

Le mot marque en grec dans les Écritures (en référence à la bête) est charagma (Apocalypse 13:16-17 ; 14:9-11 ; 16:2 ; 19:20). Charagma χάραγμα vient du même mot que charax qui lui-même vient du mot charasso (pieux-aiguiser en pointe), parent de grapho qui veut dire écrit, écrivit, écrire, inscription…

Deuxièmement, JÉSUS avait une intelligence très vive quand il était encore enfant.

Et quand il eut 12 ans ils montèrent à Jérusalem…. Et il arriva qu’au bout de trois jours ils le trouvèrent dans le temple, assis au milieu des docteurs, les écoutant tous les deux et leur posant des questions. Et tous ceux qui l’entendaient étaient étonnés de sa compréhension et de ses réponses.

Luc 2:42.

Quant à Emmanuel Macron, ce dernier a souhaité se faire baptiser à l’âge de 12 ans. Or, ses parents sont agnostiques. Il a passé son enfance chez les jésuites : les anciens professeurs ont raconté avec emphase l’élève prodige. Le père Philippe Robert, enseignant de physique-chimie, dit de lui :

« En première, le jour de son bac blanc de français, nous étions, juste pour le plaisir, quatre enseignants au fond de la classe à être venus l’écouter raconter les salons littéraires du XVIIIe siècle. Un moment éblouissant. »

Paris Match.

Troisièmement, JÉSUS est le ROI DES ROIS, titre que Macron lui subtilise également à son propre compte.

… que manifestera en son temps le bienheureux et seul souverain, le roi des rois, et le Seigneur des seigneurs…

1 Timothée 6:15.

Il avait sur son vêtement et sur sa cuisse un nom écrit : Roi des rois et Seigneur des seigneurs.

Apocalypse 19:16.

Emmanuel Macron a en effet déclaré qu’il gouvernerait la France comme le roi Jupiter, nom qui signifie « le dieu des dieux » ou peut être traduit par « le roi des dieux ».

 Jupitérien ou le roi des Dieux

Emmanuel Macron se veut «jupitérien». Mais que signifie donc l’adjectif ? Ouvrons le thésaurus. Comme son nom l’indique, il dérive de la mythologie et du patronyme de Zeus ou Jupiter en latin. Mais attention! Il ne s’agit pas de n’importe quel dieu, Jupiter est le roi des dieux.

Son nom évoque non seulement la puissance, mais la suprématie. Dans le cadre du sujet qui nous occupe, l’adjectif jupitérien caractérise une personnalité «impérieuse et dominatrice», indique le Petit Robert. Il qualifie un monarque républicain. Le terme jupitérien est donc un qualificatif…

Alice Develey, « Jésus, Jupiter, Louis XIV… et Emmanuel Macron« . Le Figaro, 16 juin 2017.

Le mot bienheureux en grec est makarios qui lui-même vient de makros/makron qui veut dire long. Le mot makarios se traduit aussi par « en marche ». André Chouraqui traduit à juste titre dans les Béatitudes : « En marche les pauvres…en marche les affligés… » Et « En marche » est le mouvement de Macron.

Enfin, par coïncidence, le nom de Macron dans la gématrie anglaise s’élève à 888 (« Jésus » dans la gématrie grecque), ce qui fait que certains le voient comme un Jésus, d’autant plus qu’il est né le 21 décembre 1977, qui est le solstice d’hiver ou le jour le plus court de l’année. La tradition chrétienne, en s’appuyant sur les données des Écritures, a reconnu très tôt que le jour de la naissance de Christ était un 25 décembre.

Ainsi, techniquement né à la période de Noël, et avec le nom d' »Emmanuel », Macron pourrait prétendre à tort qu’il est l’accomplissement de la prophétie donnée en Ésaïe 7:14 :

«C’est pourquoi le Seigneur Lui-même vous donnera un signe. Voici, une vierge concevra et enfantera un fils, et l’appellera Emmanuel

Ésaïe 7:14.

La presse séculière tel Le Figaro n’est pas restée silencieuse face à tous les noms et titres élogieux affublés à Macron empruntés au vocabulaire religieux :

Jésus, Jupiter, Louis XIV… et Emmanuel Macron

Le président de la République, Emmanuel Macron, bénéficie de rares termes élogieux dans la presse. Un lexique qui trouve son inspiration dans le vocabulaire religieux, mythologique et monarchique. Voyage en Macronie.

Comme s’il était descendu du ciel -un messie venu pour sauver la France en peine- Emmanuel Macron a désormais son propre lexique religieux. «Sauveur», «thaumaturge», «marcher sur l’eau»… Les rédactions rivalisent de mots et expressions pour décrire son ascension. Ascension, mot soit dit en passant qui remonte à la fin du XIIIe siècle avec la «montée miraculeuse de Jésus-Christ au ciel». Porteur de la bonne parole, Emmanuel Macron fait office de dieu parmi les hommes. Un imaginaire qui transparaît dans son association mythologique à la figure de Jupiter mais aussi, à celle solaire d’un roi.

Un messie et un sauveur sachant marcher sur l’eau

Le Spiegel en février et Mediapart en mai 2017. Le terme «messie» a fait une entrée remarquée dans la presse pour désigner le nouveau président Emmanuel Macron. Un mot surprenant, qui trouve ses racines dans le lexique religieux.

Emprunté au latin chrétien messias et à l’araméen, lui-même dérivé de l’hébreu biblique masah «oindre», le messie désigne à l’origine, dans l’Ancien Testament, «tous ceux qui sont investis d’une mission divine, confirmée par une onction». De nos jours, il s’emploie pour parler de « Celui qui, en vertu de la promesse de Dieu renouvelée par les prophètes de l’Ancien Testament, est attendu par le peuple juif comme le libérateur qui instaurera le Royaume de Dieu. » Outre cette acception, rappelons que le messie est aussi une «personne providentielle dont on attend la venue ; personne qui se croit investie d’une mission exceptionnelle.»

Dans le même registre, on retrouve le mot « sauveur ». Rappelons toutefois que le mot désigne dans le vocabulaire religieux la personne de Jésus-Christ (ou par extension Dieu) et qu’il qualifie « celui qui a sauvé les hommes ». Celui qui donc est parvenu au terme de sa mission.

Alice Develey, « Jésus, Jupiter, Louis XIV… et Emmanuel Macron« . Le Figaro, 16 juin 2017.

Tout ce développement rend particulièrement significatif le slogan choisi par Emmanuel Macron pour sa campagne présidentielle 2022 : « Avec vous« . Il ne fait aucun doute qu’il puise à dessein dans la dimension religieuse et messianique attachée à son prénom Emmanuel – « Dieu avec nous », se prétendant être lui-même l’Oint qui apportera la délivrance.

Affiche de campagne du candidat Emmanuel Macron à sa réélection comme président de la République française en 2022

4. L’Antéchrist sera un prince (Daniel 7:89:26). 

Contrairement à la plupart des dirigeants européens et occidentaux, Macron est techniquement un prince, un suzerain. En devenant le Président de la République française, Macron est aussi devenu coprince d’Andorre, une petite principauté de 77 000 habitants située entre la France et l’Espagne, en même temps qu’il a pris ses fonctions. 

Un petit rappel historique est nécessaire pour comprendre comment ce titre lui est attribué. En 988, les Vallées d’Andorre furent attribuées à l’Evêque d’Urgell. Celui-ci les céda en fief aux seigneurs Caboët au début du XIe siècle en échange de leur appui contre les seigneurs voisins. Les Comtes de Foix, qui héritèrent de cette seigneurie des Caboët par mariage, entrèrent en rivalité avec l’Evêque d’Urgell pour imposer leur suzeraineté.
Une intervention du Roi d’Aragon aboutit au premier acte de paréage, en 1278, qui attribua aux deux seigneurs (l’Evêque d’Urgell et le Comte de Foix) des droits identiques sur Andorre.
C’est donc entre la France et l’Espagne que se situe Andorre devenue, en 1278, une coprincipauté placée sous la suzeraineté du Comte de Foix et de l’Evêque espagnol d’Urgell.
Puis, en 1589, le Comte de Foix en la personne d’Henri IV Henri IV devient roi de France et rattache à la couronne les prérogatives liées à l’Andorre.

Les coprinces d’Andorre sont « conjointement et de manière indivise » et « à titre personnel et exclusif » l’Evêque d’Urgell et le Président de la République française. Ils ont un rôle symbolique, un rôle de « garant » constitutionnel et de solides prérogatives en matière de conclusion des traités, ce qui est déjà loin d’être négligeable. Leurs compétences s’exercent également dans le domaine judiciaire. Ainsi, ils décident librement de l’exercice ou non, du droit de grâce. De même, ils nomment les membres du Conseil Supérieur de la Justice et du Tribunal Constitutionnel.

Les royautés restantes en Europe occidentale et septentrionale ont peu de pouvoir et ne sont essentiellement que des hommes de paille, mais ce dignitaire royal particulier s’est propulsé au pouvoir puisqu’il détient également la plus haute fonction exécutive du pays. En raison de la victoire écrasante de son parti aux élections législatives, certains articles de presse l’appellent même un monarque qui peut gouverner par décret.

Le 25 août 2017 Marek Magierowski, sous-secrétaire d’État au ministère polonais des Affaires étrangères, a convoqué en urgence le chargé d’affaires

Dans Le Figaro, nous lisons la prose lyrique qui suit au sujet de Macron :

« Le prochain souverain de l’Empire du soleil levant est attendu dans la demeure du Roi-Soleil. Emmanuel Macron reçoit ce mercredi, au château de Versailles le prince héritier japonais. »

« Cela permet en quelque sorte au président de la République de parler de souverain à souverain. »

Alexis Feertchak, « Le château de Versailles, lieu diplomatique prisé d’Emmanuel Macron« . Le Figaro, 12 septembre 2018.

5. L’Antéchrist sera d’origine romaine, sortant de l’Empire romain ressuscité (l’Union européenne) (Daniel 9:26). 

Macron est un citoyen européen d’ascendance romaine des deux côtés de sa famille, et son pays, la France, fait partie de l’Union européenne (UE) qui est l’Empire romain ressuscité (UE). Macron travaille à l’unification de l’Europe qui sera un retour de ce pouvoir, et il est actuellement dirigeant de l’un des deux pays les plus puissants de l’UE.

Il convient d’examiner comment les Romains ont uni l’Europe hier et aujourd’hui.

Une Europe unie semble-t-elle plausible ? Elle l’était pour les anciens Romains, dont l’empire constitue un modèle que de nombreux Européens apprécient encore aujourd’hui. Un regard sur les techniques de la Rome antique peut nous aider à comprendre l’avenir très proche de l’Europe.

Le mouvement moderne d’unification de l’Europe a commencé peu après la Seconde Guerre mondiale et a fait des progrès remarquables en quelques décennies seulement. Toutefois, des obstacles importants à l’unité européenne subsistaient jusqu’à récemment. Il n’y avait pas encore de chef de file central unique. Il existe de nombreux nationalismes concurrents. Aucun cadre spirituel unique ne lie les divers peuples d’Europe.

Il y a deux mille ans, l’Empire romain a surmonté des obstacles similaires. La Rome antique a créé une unité culturelle et politique qui a donné naissance à l’empire le plus prospère et le plus durable de l’histoire. Aujourd’hui, les partisans d’une Europe unifiée regardent avec admiration ce que Rome a accompli. Ce n’est pas surprenant, car les prophéties bibliques révèlent qu’il s’élèvera dans la suite des temps une Europe unie sous un système politico-religieux utilisant de nombreuses stratégies similaires à celles de la Rome antique. Aujourd’hui, peu de gens comprennent l’importance des événements qui se déroulent en Europe, mais les chrétiens qui prennent au sérieux la Bible peuvent reconnaître comment des événements prophétisés depuis bien longtemps s’assemblent en Europe comme les morceaux d’un énorme puzzle, prêts à se mettre en place, avec un résultat qui affectera le monde entier.

D’anciennes prophéties révèlent que la phase finale de l’Empire romain émergera dans les « derniers jours » (Daniel 2:28, 41-45). Au cours des cinquante dernières années, nous avons été témoins des étapes de formation de cet événement prophétisé depuis longtemps. En 1946, Winston Churchill appelait à la création « d’une sorte d’États-Unis d’Europe » (Adrien Hilton, The Principality and Power of Europe [17], p. 21). Deux ans plus tard, Churchill déclarait au Congrès de l’Europe :

« Nous espérons voir une Europe où les hommes de tous les pays penseront à être Européens tout comme ils appartiennent à leur terre natale. »

Jeremy Rifkin, The European Dream, p. 200 [18].

En 1951, six nations européennes cherchant à prévenir une future guerre – la France, l’Allemagne, l’Italie, la Belgique, les Pays-Bas et le Luxembourg – signèrent le traité de Paris dans le but de former la Communauté européenne du charbon et de l’acier. Ce traité plaçait une région industrielle longtemps contestée entre la France et l’Allemagne sous la tutelle d’une autorité supranationale dotée de pouvoirs réglementaires, d’une assemblée législative et d’une Cour européenne. En 1957, les six mêmes nations signèrent le traité de Rome, établissant la Communauté économique européenne (CEE), qui instaura un marché commun et un Parlement européens. Ce traité forma également une Commission européenne chargée de formuler des lois et des règlements, d’harmoniser les codes fiscaux et de réduire les barrières douanières internes (ibid., pp. 201-202).

En 1992, le traité de Maastricht transforma la CEE en Union européenne. Quinze nations membres acceptèrent de créer une force de police européenne, une banque européenne et une monnaie unique, l’euro. En 2002, dix autres nations d’Europe centrale, méridionale et orientale rejoignèrent l’UE, portant le nombre total de membres à 25.

En 2004, les représentants de l’UE se réunirent à nouveau à Rome pour signer la nouvelle Constitution européenne. Les signataires avaient le sentiment d’être réunis dans un but noble. Sur une plaque de marbre commémorant l’événement, l’on peut lire :

« Le 29 octobre 2004, dans ce lieu sacré qu’est le Capitole… les hautes parties contractantes des nations réunies dans l’Union européenne ont signé un traité sur la forme de la Constitution à adopter, afin que les races d’Europe puissent se fondre en un seul peuple doté d’un seul esprit, d’une seule volonté et d’un seul gouvernement. »

Le journaliste britannique Boris Johnson, qui est aujourd’hui Premier ministre du Royaume-Uni depuis 2019, notait ce qui suit :

« Quand le continent européen a-t-il eu pour la dernière fois un seul esprit, une seule volonté, un seul gouvernement ? Jamais depuis la chute de l’Empire romain. »

Boris Johnson. The Dream of Rome [12], pp. 30-31.

En effet, l’utilisation des méthodes romaines pour créer une Europe unifiée n’est pas passée inaperçue. Johnson écrivait :

« À bien des égards, l’Union européenne peut être considérée comme l’héritière de l’Empire romain, une tentative d’unir ce territoire vaste et disparate à la manière des Romains… C’est ce souvenir d’un continent pacifique et uni qui est si séduisant… et c’est… la raison pour laquelle la dernière et la plus ingénieuse tentative de reconstruire l’Empire romain… aurait dû commencer dans la Ville éternelle. »

Boris Johnson, ibid., pp. 1, 22, 52.

L’homme politique belge Paul-Henri Spaak est l’un des « pères fondateurs » du projet moderne d’unification de l’Europe. Commentant l’impression qu’il avait ressentie en signant le traité de Rome en 1957, il fit remarquer que

« ce jour-là, nous nous sentions comme des Romains… Nous recréions consciemment l’Empire romain une fois de plus.« 

Grant Jeffrey. The Signature of God [13], p. 191.

Peu de gens réalisent aujourd’hui que le prophète Daniel a prédit ces développements il y a plus de 2 500 ans !

Parallèles anciens et modernes

Lorsque nous étudions comment les Romains ont unifié l’Europe, les parallèles deviennent vite évidents. Les Romains ont développé un système de lois, de tribunaux et de compétences administratives pour gérer leur empire. Aujourd’hui, le droit romain constitue le fondement des codes juridiques de la France, de l’Italie, des pays d’Amérique latine et de l’UE, ainsi que d’une grande partie du droit international. Le droit romain est également à la base du droit canon catholique romain (Mancall Wallbank, Civilization Past and Present [14], pp. 87-88).

Le droit commun anglais diffère du droit romain sur un point essentiel. En droit anglais, les suspects sont considérés comme innocents jusqu’à ce que leur culpabilité soit prouvée. Le droit romain considère les suspects comme coupables jusqu’à ce que leur innocence soit prouvée. Le contraste entre ces deux approches juridiques a eu une profonde influence sur les types de sociétés construites sur ces bases juridiques très différentes.

L’UE a également formulé un ensemble croissant de lois et de règlements qui, lentement et discrètement, entraînent les nations européennes dans une union de plus en plus étroite. Ces lois européennes, qui privent les états membres de leur pouvoir, supplantent les lois nationales et s’appliquent à tous les pays ou entreprises qui souhaitent commercer au sein de l’UE. Lorsque la Cour européenne applique ces lois, elle supplante en fait les tribunaux des nations membres. Ce système juridique européen liera les pays en une entité juridique qui deviendra une Europe fédérale unie ! À mesure que les nations du monde se conformeront aux lois européennes pour faire des affaires dans une Europe économiquement prospère, l’UE deviendra la principale puissance déterminant les règles du commerce mondial.

En unifiant le continent, les Romains ont développé un système fiable de monnayage. À partir de l’époque d’Auguste, vers 11 av. J.-C., une monnaie unique fut utilisée dans tout l’empire. Les pièces étaient estampillées du visage de l’empereur et véhiculaient un puissant message politique. L’UE a également créé une monnaie commune, l’euro. Lorsque les dirigeants de l’UE lancèrent une monnaie unique, ils « savaient qu’ils accomplissaient un grand pas vers une union politique dans une grande partie de ce qui avait été l’ancien Empire romain » (Johnson, p. 175). La Banque européenne est située à Francfort, en Allemagne. Au Moyen Âge, l’Allemagne était le centre politique du Saint Empire romain germanique. L’UE élabore une taxe qui sera versée directement au siège de l’UE à Bruxelles. L’Empire romain prélevait un impôt similaire qui permettait de financer l’armée, les fonctionnaires et les dépenses publiques soutenant l’Empire. Tant dans le passé que dans le présent, les réformes monétaires ont joué un rôle important dans les efforts d’unification de l’Europe !

La puissance militaire favorisait la paix dans la Rome antique, et avait des implications économiques importantes.

« La Pax Romana [paix romaine] était responsable de l’élimination des péages et d’autres barrières artificielles, de la suppression de la piraterie et du brigandage, et de l’établissement d’une monnaie fiable. Ces facteurs, ajoutés à la plus longue période de paix dont l’Occident ait jamais bénéficié, expliquent dans une large mesure la forte expansion du commerce qui s’est produite aux premier et deuxième siècles de notre ère. »

Wallbank, Civilization Past and Present, p. 83.

L’UE a supprimé les barrières douanières internes et ouvert les frontières pour faciliter le commerce et les déplacements entre les pays membres. Ce processus a débuté à une époque de paix garantie par la puissance militaire américaine. Cependant, comme les Romains, l’UE est en train de construire sa propre armée, en plus de l’OTAN, et des rapports suggéraient déjà, en 2006, que le projet de création d’un corps de garde-côtes européen est « une tentative détournée de créer une marine européenne » (The Sunday Telegraph, 21 mai 2006).

Conquête furtive

La Rome antique a conquis et unifié l’Europe ouvertement par la force. Aujourd’hui, l’UE tente d’unir le continent par la voie législative et réglementaire. Les Romains recrutaient les élites provinciales pour en faire des agents du processus de romanisation. En échange de leur aide pour lever des impôts, les chefs locaux étaient soutenus par l’armée romaine et recevaient la citoyenneté – « et les Romains prenaient soin de leur laisser l’illusion de l’autonomie » (Johnson, pp. 126-127). Avec le temps, le port de la toge, les bains, les jeux et les fêtes dans les villas romaines sont devenus une marque de distinction. Aujourd’hui, l’UE utilise le même processus dans sa tentative d’unir l’Europe. Lorsque des personnes sont élues au Parlement européen (ou nommées à la Commission européenne), leurs salaires grimpent en flèche, elles voyagent avec style et mènent la belle vie en répandant « l’évangile de l’Europe » dans leurs pays d’origine.

L’historien romain Tacite a décrit le processus d’incitation des provinciaux à adopter les coutumes romaines comme une forme d’esclavage :  

« Ainsi, la population fut progressivement entraînée dans les tentations immorales des arcades, des bains et des banquets somptueux. Les Britanniques, qui ne se doutaient de rien, parlaient de ces nouveautés comme d’une « civilisation », alors qu’en fait elles n’étaient qu’un élément de leur asservissement. »

Dans le monde antique, la romanisation a asservi les provinces dans une cage dorée (Johnson, p. 131). Les efforts déployés aujourd’hui par l’élite européenne pour unifier le continent à la dérobée risquent d’avoir des conséquences néfastes, car les nations se rendent compte qu’elles ont été enfermées dans une prison législative et réglementaire dont il sera difficile de s’échapper.

L’approche romaine de la religion a également contribué à assimiler des peuples divers au sein d’un empire uni. Les religions étrangères étaient rarement source de division dans le monde romain, car « les Romains étaient à la fois rusés et faciles à vivre… ils accueillaient les nouveaux dieux et fusionnaient simplement les dieux locaux avec les divinités romaines » (Johnson, p. 50). Avant l’arrivée du christianisme, « le principal culte impérial [à Rome] était devenu celui de Sol Invictus (le Soleil invaincu, qui avait son temple spécialement consacré le 25 décembre) » – le moment du solstice d’hiver et de la renaissance du dieu Soleil (Johnson, p. 33).

Éphèse avait été le centre du culte de la déesse vierge-mère Artémis, et était une attraction touristique majeure avec un temple magnifique et des milliers de prêtres et de prêtresses-prostituées. Peu à peu, elle fut associée à des récits impliquant la mère du Christ. Une grande église fut construite à Éphèse, et des statues-souvenirs de la « Vierge Marie » furent vendues sur la place d’Artémis, car l’on racontait que Marie y avait été enterrée (Johnson, pp. 119-120). Cela illustre bien la technique des Romains consistant à utiliser la religion malléable pour consolider leur empire.

Dans l’Europe d’aujourd’hui, la religion a été mise à l’écart par le sécularisme. Il n’existe pas d’euro-religion, ni de rituels euro-religieux pour cimenter l’unité du continent (voir Johnson, p. 186). La « dimension spirituelle » qui avait soudé l’Empire romain fait défaut aujourd’hui – le facteur religieux n’a pas encore été utilisé. Il faut s’attendre à une personnalité religieuse puissante qui amènera les dirigeants politiques européens à une union spirituelle cimentée par une religion laïque, mais « transcendantale » selon le mot du philosophe et ancien ministre français de l’Éducation nationale (2002-2004) Luc Ferry. Vincent Peillon, également ancien ministre français de l’Éducation nationale entre 2012 et 2014 et franc-maçon, n’a pas hésité à désigner la laïcité comme cette nouvelle religion incarnant l’idéal utopique du socialisme, vu comme le digne héritier des idées des Lumières, idées maçonniques :

 « … c’est au socialisme qu’il va revenir d’incarner la révolution religieuse dont l’humanité a besoin. »

Vincent Peillon, La révolution française n’est pas terminée, Paris, Seuil, 2008, p. 195.

« C’est bien une nouvelle naissance, une transsusbtantiation qui opère dans l’école et par l’école, cette nouvelle Église, avec son nouveau clergé, sa nouvelle liturgie, ses nouvelles tables de la Loi. »

Vincent Peillon, La révolution française n’est pas terminée, Paris, Seuil, 2008, p. 18.

Vivien Hoch résume bien le projet religieux de Vincent Peillon et avec lui des francs-maçons qui se veulent les gardiens de la République :

Vincent Peillon développe ainsi une dialectique qui revisite l’histoire sous l’angle du progressisme (I), basée sur une révolution française sacralisée (II) qui ne s’accomplira messianiquement que par l’éducation, destinée à former des « hommes nouveaux » (III).


Vivien Hoch, La religion laïque d’après l’un de ses prophètes, Vincent Peillon. Centre d’études et de recherches universitaires (CERU).

Le culte de l’empereur

Des personnalités puissantes ont joué un rôle important dans les efforts d’unification de l’Europe, et le culte de l’empereur romain en est un excellent exemple. Octave (plus tard appelé Auguste César) était « le fondateur de l’Empire romain » et l’une des grandes figures centrales de l’histoire. Âgé de 18 ans seulement lorsque son grand-oncle Jules César fut assassiné, Octave fit preuve d’ambition, de ruse, de courage et de détermination pour se hisser au sommet du système politique romain. Une fois aux commandes, il mit fin aux querelles et aux guerres civiles qui avaient failli détruire la République romaine, et il réorganisa le gouvernement. Il forma une fonction publique compétente, construisit un vaste réseau routier, réorganisa l’armée et établit une marine permanente. En tant que populiste – « se délectant des plaisirs du peuple » – il embellit Rome, assiste aux jeux et sanctionne leur extravagance croissante (Johnson, pp. 92-94). Au cours de son règne de 40 ans, Auguste parlait de restaurer la République, mais garda la main sur les sources du pouvoir – devenant un dictateur bienveillant qui utilisait une façade démocratique pour maintenir sa tyrannie personnelle.

Auguste comprenait le peuple qu’il gouvernait, son « obsession pour la tradition et la validation du passé » (ibid., p. 91). Il construisit des temples et promut l’ancienne religion romaine. Parce qu’il avait mis fin à des décennies de conflits et inauguré un âge d’or de paix et de prospérité, beaucoup le voyaient comme un « sauveur » et une sorte de dieu. Auguste utilisait les poètes romains (les « médias » du monde antique) pour façonner une « conscience politique unique » dans tout l’empire et répandre l’idée que le « jeune empereur » était un « enfant prodige » qui allait « pacifier et gouverner le monde » (Johnson, pp. 74, 82). Le sentiment grandit de ce « que le succès de Rome était divinement ordonné, et… que l’empereur romain était également divin » (ibid., p. 96). Cette fusion de la religion et de la politique devient une stratégie puissante pour unifier l’empire.

Boris Johnson fait cette observation fort intéressante :

« Le culte de l’empereur a été un élément clé du processus de romanisation de l’Europe… Pour comprendre comment les Romains ont si bien dirigé l’Europe pendant si longtemps, il faut comprendre la manière fascinante dont Auguste a créé l’idée d’un empire ordonné par Dieu, avec un empereur ordonné par Dieu au centre… Le grand avantage du système romain était que leur empereur-dieu existait réellement… Cela présentait d’énormes avantages politiques et contribue à expliquer comment les Romains ont dirigé l’Europe et créé ce sentiment d’unité qui a échappé à tous les autres depuis lors… c’est le système païen avec le culte de l’empereur en son cœur qui a permis aux Romains de diriger l’Europe… Auguste a eu l’imagination nécessaire pour voir comment cela pourrait fonctionner, et l’autorité pour remplir le rôle avec tant de succès qu’il a fallu des siècles avant que le système ne s’effondre finalement » (Johnson, pp. 98-100).

Cette stratégie n’a pas encore été expérimentée en Europe aujourd’hui. Mise à jour : mardi 28 juin, Boris Johnson a fait part de son ambition de former un nouvel Empire romain [20]

Une vision ancienne

Quelle est donc la signification réelle des efforts modernes pour unir les nations d’Europe ? Que révèlent les prophéties bibliques sur l’évolution future du continent européen ? Il y a plus de 2 500 ans, le roi Nabuchanedsar eut la vision d’une image géante, représentant quatre empires qui domineraient le monde méditerranéen (Daniel 2:36-43). Les deux jambes de l’image révèlent que le quatrième empire – Rome – se divisera en deux parties, l’une orientale et l’autre occidentale, et que la phase finale de ce quatrième empire (les pieds de fer et d’argile) sera une sorte de fédération fragile composée de nations qui faisaient autrefois partie de l’Empire romain. C’est exactement ce qui se développe en Europe aujourd’hui ! Les dix orteils indiquent qu’il y aura dix nations ou dix dirigeants nationaux impliqués dans la renaissance finale de l’Empire romain.

Les prophéties révèlent également ce qui suit : « Dans les jours de ces rois, le Dieu des cieux établira un royaume qui ne sera jamais détruit » (Daniel 2:44), et que Jésus-Christ qui revient (la pierre) frappera l’image et mettra fin à ces royaumes du monde (Daniel 2:44-45). Ces événements ont commencé à se produire depuis la résurrection et l’ascension au ciel de Jésus-Christ, les nations se soumettant à son règne terrestre progressivement, et ils atteindront leur plein développement lors du millénium, qui inaugurera le règne universel de Christ à la fin de cet âge, lorsque Jésus-Christ reviendra sur cette terre.

La véritable signification des efforts modernes pour unifier l’Europe en utilisant les méthodes et le modèle romains est que nous sommes témoins de la renaissance finale de l’Empire romain qui a été prophétisée comme devant se produire à l’époque de l’apparition de l’Antéchrist ! Nous pouvons nous attendre à voir l’Union européenne actuelle, composée de 25 nations, se réorganiser autour d’un noyau de dix nations à l’approche de cet événement décisif.

Les prophéties bibliques indiquent que les dirigeants de ces dix dernières nations seront « d’un seul esprit, et donneront leur pouvoir et leur autorité » à un politicien habile et charismatique appelé « la bête » (Apocalypse 13:1-10 ; 17:12-13). Cet individu permettra, puis arrêtera, les sacrifices quotidiens des Juifs à Jérusalem, et érigera une idole qui souillera le temple (Daniel 8:11-14 ; Matthieu 24:15). Il est décrit comme une personne maléfique qui obtiendra le pouvoir par la tromperie et la flatterie, se présentant comme un partisan de la paix, mais devenant militant et utilisant le pouvoir de l’État à ses propres fins, un peu comme Auguste, Napoléon, Mussolini ou Hitler (Daniel 11:21-24). Il « jettera la vérité par terre » et blasphémera ce qui est saint pendant une brève période de prospérité, « et il se glorifiera dans son cœur » avant de trouver la mort (Daniel 8:12, 23-26 ; 11:36-39). Un chef central fort et rusé fait défaut dans la tentative moderne d’unir l’Europe, mais la Bible révèle qu’un tel chef apparaîtra. L’Empire romain a été fondé par un tel homme, et le chef du renouveau final sera à l’image de son fondateur (Daniel 2:28, 45).

Un virage vers la religion ?

La Bible et l’histoire indiquent que les dirigeants européens se tourneront à nouveau vers la religion pour fournir le ciment nécessaire à l’unité de nations disparates. Tout comme les Romains ont exploité le pouvoir de la religion et du culte de l’empereur pour souder leur empire, les dirigeants européens commencent à faire écho au même thème. Pendant des décennies, les papes ont parlé du vide spirituel de l’Europe et ont averti que les règlementations économiques ne pouvaient pas vraiment lier les peuples. En 1975, le pape Paul VI déclarait : « C’est la foi, la foi chrétienne, la foi catholique qui a fait l’Europe… C’est là que notre mission d’évêques en Europe prend une perspective saisissante.  Aucune autre force en Europe ne peut rendre le service qui nous est confié… réveiller l’âme chrétienne de l’Europe, là où s’enracine son unité » (Hilton, p. 35). En 1979, le pape Jean-Paul II a déclaré que pour trouver une unité fondamentale, l’Europe « doit se tourner vers le christianisme. Les raisons économiques et politiques ne peuvent pas le faire. Nous devons aller plus loin » (ibid., p. 33). En 1982, le pape a exhorté les Européens à « se retrouver. Soyez vous-mêmes. Découvrez vos origines, ravivez vos racines » (ibid., p. 33). Récemment, la chancelière allemande Angela Merkel a déclaré que l’UE devait être quelque chose de plus qu’une union économique ou politique, et que l’Allemagne ferait pression pour que la Constitution européenne fasse clairement référence à Dieu, afin de rendre les Européens plus conscients de leurs racines chrétiennes.

Nombre des pères fondateurs du mouvement européen moderne étaient de fervents catholiques romains. Des observateurs ont noté que l’idée d’une Europe unie est « essentiellement un concept catholique » et que « les églises catholiques de nombreux pays du continent sont influencées par le désir de voir se recréer en Europe un Saint-Empire romain fantôme » (Hilton, p. 37). Les prophéties bibliques indiquent que la renaissance finale de l’Empire romain sera « chevauchée » par une femme (Apocalypse 17:1-6). Dans le symbolisme prophétique, une femme représente une église (voir Apocalypse 12:1-6). La femme qui chevauche la puissance de la bête à la fin de l’ère a persécuté les vrais croyants, a fait alliance avec le pouvoir politique antéchristique et a répandu une forme paganisée de christianisme dans le monde entier. Aujourd’hui, un christianisme œcuménique et hétérodoxe promu par l’Eglise romaine du pape François constitue, avec la religion laïque, le ciment nécessaire pour lier un noyau de nations européennes alors que la renaissance finale de l’Empire romain émerge en Europe.

Tout comme l’empereur romain Constantin a utilisé la religion et le culte de l’empereur pour unifier son empire, les prophéties bibliques indiquent que les dirigeants européens se tourneront à nouveau vers la religion et vers un homme fort pour unir l’Europe, juste avant la manifestation des jugements de Dieu. Ces événements se produisent aujourd’hui sous nos yeux.

6. L’Antéchrist sera un pervers sexuel et n’aura pas d’égard à « l’objet du désir des femmes » (Daniel 11:37). 

Curieusement, le jeune Emmanuel Macron (à 15 ans) est tombé amoureux de Brigitte Trogneux, une institutrice mariée de son école qui avait alors 39 ans ! Malgré son rejet initial de ce dernier et le fait qu’elle était déjà mariée et mère de trois enfants, Macron a fait ce qu’il voulait et a néanmoins commencé une liaison avec Brigitte Trogneux à l’adolescence.

Emmanuel Macron et son épouse, Brigitte Trogneux, de 24 ans son aînée

Le désir des femmes est d’avoir une famille et des enfants. Macron a dit qu’il ne voulait pas d’enfants. Des rumeurs circulent également selon lesquelles il serait homosexuel et aurait eu des relations avec quelques hommes, rumeurs renforcées par les documents issus du MacronLeaks [19], ou fuite de documents et courriels de la campagne Emmanuel Macron qui semble avoir été organisée par le même groupe qui serait derrière le piratage du Comité national Démocrate qui a dévoilé les manœuvres des proches de Hillary Clinton pour faire perdre Bernie Sanders, affirment des analystes cités par The Independent. Ces rumeurs, si elles doivent être prises avec une extrême prudence, sont corroborées par le témoignage de plusieurs personnes proches de la communauté homosexuelle, dont un ancien acteur pornographique. C’est aussi le scandale Benalla qui a ravivé ces rumeurs.

En outre, Macron soutient ouvertement le mariage homosexuel.

Macron apparaît torse nu sur la couverture d’un magazine gay.

Mais il pourrait y avoir bien plus encore : ce qui était au départ une simple hypothèse pourrait devenir une certitude, au terme d’une rigoureuse enquête : Brigitte Trogneux, épouse Macron, serait née et aurait grandi homme, et serait en réalité Jean-Michel Trogneux [15].

Les journalistes de la revue Faits & Documents ont mené un travail très intéressant qui mettrait en évidence un effort systématique de camouflage des services de communication de l’Elysée ainsi que la complicité de la famille tenue par ce lourd secret. Ce secret n’est pas un secret de couple, mais une transgression sociale couverte par un certain milieu. Cependant, les services de l’Elysée n’ont pas pu effacer toutes les traces. Et ils ont généré des incohérences et des contradictions dans leurs éléments de langage et leur production du récit officiel (photos, dates, noms, témoins). Le lecteur lira avec un intérêt l’enquête de Faits & Documents.

La vidéo suivante de 35 mn 46 s rappelle toute cette histoire :

Cliquer sur l’image pour accéder à la vidéo.

Autre fait qui mérite toute l’attention, Faits & Documents (n°504) cite ce rapport de l’Assemblée nationale en page 5 : il s’agit d’une audition de Sylvain Telesfort (devenu par la suite Sylvaine Telesfort) auprès de l’Assemblée nationale en 2018 autour des lois bioéthiques. Sylvain Telesfort est le président de l’association AMIHE (l’Association Maison Intersexualité et Hermaphrodisme Europe).

Sylvain Telesfort est 47, XXY – c’est-à-dire qu’il y a un conflit entre l’expression génétique XY et XX, d’où son hermaphrodisme et les questions de définition de son état-civil qui font l’objet de cette audition. Il a fini par basculer côté femme sur le tard (Sylvain est devenue « Sylvaine ») par une opération chirurgicale. Voici son témoignage :

« Ça a été un combat difficile. J’ai mis dix ans avant de finir par accepter. En plus, à quarante-deux ans, j’ai perdu ma mère, ce qui n’a rien arrangé. J’ai cherché des solutions, j’ai rencontré des généticiens qui m’ont recommandé de me faire opérer, de me faire « réparer ». J’ai demandé à mon député de m’aider, ce qu’il a fait. Un médecin-chef de la caisse d’assurance maladie, le docteur Françoise Macron, m’a aidé à monter le dossier. On a cherché d’abord une équipe française capable d’intervenir, sans succès. Finalement, je me suis fait opérer en Belgique par une équipe pluridisciplinaire internationale – parce que j’étais un cas très rare – et je suis devenue une femme, malgré moi. Si on m’avait respecté dans mon enfance, j’aurais été fille tout de suite. Mais je n’ai pas de genre à vous présenter. Je suis moi. Pour moi, il n’y a pas de genre ou de sexe neutre pour les hermaphrodites. Seule une hermaphrodite qui a un syndrome de Swyer – c’est à dire un corps sans vagin mais avec un utérus qui peut recevoir un ovule fécondé – peut avoir des enfants, mais à condition de faire une césarienne. »

Sylvain Telesfort.

Cette Françoise Macron est la mère d’Emmanuel Macron. Ce détail est d’une grande importance : il montre que la présidence d’Emmanuel Macron, de par l’adhésion de sa mère au transsexualisme, est placée sous le signe du transsexualisme pour tous.

Si l’affaire Trogneux est vraie – et un certain nombre d’éléments permettent d’accréditer cette hypothèse -, elle permettrait de considérer l’entrée à l’Elysée d’Emmanuel Macron, Président de la République homosexuel, marié à un transsexuel, comme une désacralisation de la fonction présidentielle et de l’Elysée.

7. L’Antéchrist sera un dirigeant extrêmement charismatique, qui est apparemment amical et charmant alors qu’il trompe les gens

Macron est jeune, beau et charmant, selon de nombreux articlesHaaretz News a dit ceci à propos de Macron :

« Quand il monte sur scène lors de rassemblements, vous pouvez ressentir les dimensions messianiques d’Emmanuel Macron – l’extase presque sexuelle du public, la foi aveugle de ses partisans, les messages évangéliques des rédacteurs de ses discours. Les gens aspirent à avoir une photo avec lui, à parler avec lui, à le toucher. » 

L’ami de Macron décrit comment le président est un « grand séducteur, » un homme qui utilise ses dons prodigieux pour obtenir tout ce qu’il veut. Macron, explique-t-il, est un polymathe, une personne qui est capable d’acquérir une expertise significative dans une grande variété de sujets différents pour devenir rapidement un expert dans ces domaines, et il utilise cette capacité pour s’attirer les bonnes grâces des autres.

Le Financial Times, citant une source qui connaît bien Macron depuis des années, a expliqué en détail comment : « …il séduit tout le monde. Et puis tue. » La source du FT dit que Macron est toujours charmant, en particulier avec les ennemis et ceux qui lui sont hostiles. Lors des élections, par exemple, Macron a pris un plaisir particulier à toujours essayer de rencontrer ses adversaires, même les plus hostiles, en face à face. Il l’a fait, dit la source, parce qu’il était et est tellement confiant à l’égard de son propre charme et de sa capacité à « convaincre les gens » .

8. Je m’attends à ce que l’Antéchrist soit un psychopathe intelligent qui est impitoyable envers les autres dans les coulisses (Daniel 8:23). 

Le style de leadership de Macron commence à se révéler en pleine lumière, et il EST impitoyable. Par exemple, après que le président François Hollande a fait de Macron un ministre du gouvernement, Macron a abandonné Hollande et a finalement pris son poste. Macron a ensuite purgé trois ministres bien établis et de haut rang au cours des premiers jours de son administration. Macron ne s’est pas retenu de donner des leçons et d’offenser grandement les dirigeants d’Europe centrale et orientale sur ce qu’il perçoit comme étant leur échec collectif à accepter des quantités suffisantes de réfugiés du Moyen-Orient dans leurs nations.

Macron a dit aux hommes politiques français, de gauche comme de droite, qu’ils devront respecter ses règles s’ils veulent être dans son camp (voir « Macron fait la loi aux grosses bêtes de la politique française« ). En juin dernier, le monde entier a vu le président français humilier publiquement un adolescent pour l’avoir appelé «Manu» (voir ici). Le président français Emmanuel Macron, contrairement à son image publique, dit Sophie Pedder, «… peut être très impitoyable quand il le veut ».

L’approche constamment méprisante de Macron envers les règles et les limites de la vie normales a conduit le psychiatre et psychothérapeute européen de premier plan Adriano Sagatori, qui a étudié de près Macron, à conclure de manière très argumentée, suite à son analyse du profil de ce dernier, basée notamment sur sa biographie et ses images de campagne, que :

« Macron est un psychopathe qui travaille uniquement pour lui-même. »

Dans son livre-enquête Le grand manipulateur, publié le mercredi 24 avril 2019 aux éditions Stock (360 pages), le journaliste Marc Endeweld, passé par Marianne, décrit l’attitude méprisante avec laquelle Emmanuel Macron peut d’un coup traiter même ses plus fervents soutiens. Ses nombreuses manigances, ses réseaux de pouvoir et d’influence secrets, son hypocrisie et ses mensonges pour arriver à ses fins sont exhaustivement détaillées dans ce livre qui montre un Emmanuel Macron drapé de morgue, entièrement faux, séducteur, infâme, fin calculateur, despote narcissique qui se complaît dans l’exercice du pouvoir absolu rendu possible grâce à l’oligarchie dont il s’entoure. Un personnage qui excelle dans l’art de la manipulation, le tout conjugué avec un art consommé du cloisonnement, un affect limité et une volonté en acier. C’est avec raison que Marc Endeweld a placé en exergue de son ouvrage cette citation du Portrait de Dorian Gray : 

« Agissant en hypocrite, il avait revêtu le masque de la vertu. »

Portrait de Dorian Gray

Il est difficile de dire combien de marcheurs il laisse sur le bas-côté de la route :

Il séduit, utilise, et jette. Sans états d’âme.

Endeweld n’a donc guère une haute opinion de son protagoniste : 

« Macron exige toujours des autres une « sincérité » qu’il n’a pas, puisque sa seule boussole est celle du rapport de force. »

Dans une vidéo de 42 minutes, Charles de Mercy procède à une analyse comparative des discours inauguraux de Macron en 2017 et 2022, en utilisant l’analyse semio-morphologique dans le but de décrypter la dynamique mentale de Macron et le projet qui peut l’incarner. La conclusion est éloquente et rejoint ce qui a été dit par d’autres au sujet de sa maîtrise des techniques de la manipulation. Maître manipulateur sous des apparences séduisantes et se donnant pour quelqu’un de charismatique et d’empathique, Emmanuel Macron sait jouer à fond la carte de la tromperie par de beaux discours que les actes se chargent de démentir, actes qui trahissent ses véritables intentions.

9. L’Antéchrist sera un mondialiste (Apocalypse 13:7), qui se fera connaître comme une personne qui répond à certains des problèmes majeurs du monde par la diplomatie. Il apparaîtra comme le sauveur du monde (Apocalypse 6:2). 

Emmanuel Macron est le chouchou du mondialisme, il en est l’incarnation même.  Macron est tellement mondialiste qu’il a déclaré que « la culture française n’existe pas». Un excellent exemple de Macron face aux problèmes mondiaux est son rôle de dirigeant dans la farce mondiale du « changement climatique ». Fait intéressant, le changement climatique, anciennement connu sous le nom de « réchauffement climatique », a toujours été considéré comme le véhicule par lequel les mondialistes domineront et contrôleront les économies mondiales.

Macron a déjà réussi en France en représentant tout ce qui ne va pas en Europe : le socialisme, l’absence de frontières, la folie de l’immigration, l’exaltation de l’islam et l’athéisme. En conséquence, Macron a été surnommé « Jésus Macron » , le sauveur de l’Europe et le «Roi Soleil» réincarné. En juin 2017, le magazine The Economist a même dépeint Macron avec une auréole christique dans une photographie où il marche sur l’eau et avec le titre «Europe’s Saviour? » (Le sauveur de l’Europe ?) :

10. L’Antéchrist sera la personne la plus arrogante de tous les temps (Daniel 11:368:25) car il aura l’audace de prétendre qu’il est Dieu et demandera au monde de l’adorer (2 Thessaloniciens 2:3-4). 

La prétention de Macron selon laquelle il « gouvernera comme le dieu romain Jupiter » est en fait une déclaration selon laquelle il veut gouverner « au-dessus de tous les dieux » (Daniel 11:36).

Macron a été critiqué pour avoir adopté une approche arrogante, par exemple lorsqu’il n’a pas accordé l’interview télévisée traditionnelle des présidents français pour la Fête nationale parce que ses pensées sont « trop complexes » pour un tel forum. Le psychiatre européen de premier plan Adriano Sagatori déclare :

«Comme tous les psychopathes, il a une haute idée de lui-même. Macron n’aime pas la France et ne lutte pas pour le peuple français.»

Sagatori a poursuivi comme suit : 

« Macron s‘aime énormément… Le paradoxe veut qu’il semble pathologiquement normal, mais nous sommes en plein narcissisme. » (Source.)

Soit dit en passant, cette impression sur Macron n’est pas isolée ; elle semble faire écho aux sentiments partagés par de nombreuses autres personnes, en particulier ses proches. Même l’épouse d’Emmanuel Macron « pense qu’il est arrogant » !

Avec « paroles arrogantes », les premiers résultats de recherche avec Google donnaient une liste de liens vers des définitions de différents dictionnaires, etc., et le premier lien qui n’est pas celui d’une définition de dictionnaire c’est celui-ci (et c’est le premier qui apparaît dans la liste des résultats de recherche avec « Macron » et « paroles arrogantes » comme mots clés – la page à laquelle renvoyait ce lien a été supprimée depuis, apparemment) :

https://paryz.msz.gov.pl/fr/p/paryz_fr_a_fr/actualites/communique_du_ministere_polonais_des_affaires_etrangeres_?channel=www

Il s’agit d’un communiqué du ministère polonais des affaires étrangères dont nous donnons un bref extrait ci-après :

Le 25 août 2017, Marek Magierowski, sous-secrétaire d’État au ministère polonais des affaires étrangères, a convoqué en urgence le chargé d’affaires de la République française, Sylvain Guiaugué, et a exprimé l’indignation du gouvernement polonais après les paroles arrogantes du président Emmanuel Macron qui, lors de sa visite en Bulgarie, a en outre déclaré que « l’Europe s’est construite sur des libertés publiques qu’enfreignait aujourd’hui la Pologne » et qu’elle « se mettait en marge » et « décidait d’aller à l’encontre des intérêts européens sur de nombreux sujets ».

Extrait d’un communiqué du ministère polonais des affaires étrangères.

Nous ajoutons également deux tableaux de codes bibliques [3] trouvés avec les deux uniques occurrences de son nom dans le livre de Daniel (les deux ont la même lettre qui se trouve dans le même chapitre et dans un verset qui parle de la même petite corne, le nom « Macron » partageant une lettre avec « corne » dans le tableau avec le second saut de lettres) :

La première avec le saut minimum de -136 :

E. Macron (en lettres rouges). « Sur cette corne qui avait des yeux, une bouche parlant avec arrogance » (en lettres marron – Daniel 7:20).

La seconde avec le saut de 2370 :

E. Macron (en lettres rouges). « Les paroles arrogantes que prononçait la corne » (en lettres marron – Daniel 7:11).

Mise à jour (dans le deuxième tableau avec l’occurrence avec le saut de 2370) :

Le mot araméen corne (קרנא – cliquer sur le mot en araméen pour accéder à la définition du lexique – encadré en vert dans le tableau ci-dessous, et mis en surbrillance dans les versets en français et en araméen ci-dessous) en Daniel 7:11, dont l’une des lettres est partagée avec une lettre du nom E. Macron (mot vertical en lettres rouges dans le tableau ci-dessous), partage également sa première lettre avec la première lettre du terme empereur (encerclé en marron) romain (encadré en bleu ciel), empereur partageant sa dernière lettre avec la première lettre de romain, et partageant également sa première lettre avec la première lettre du mot corne en Daniel 7:11.

« Je regardai alors, à cause des paroles arrogantes que prononçait la corne; et tandis que je regardais, l’animal fut tué, et son corps fut anéanti, livré au feu pour être brûlé. »

« חזה הוית באדין מן־קל מליא רברבתא די קרנא ממללה חזה הוית עד די קטילת חיותא והובד גשמה ויהיבת ליקדת אשא׃ »

Le mot psychopathe apparaît également dans le même tableau à son saut minimum dans tout le livre de Daniel, et sa deuxième lettre touche directement la quatrième lettre du nom Macron et est partagée avec la deuxième lettre du mot empereur.

Une occurrence verticale du terme l’impie, et parallèle à l’occurrence de E. Macron, apparaît aussi dans le même tableau, et l’orthographe utilisée est exactement celle utilisée par Franz Delitzsch dans sa traduction en hébreu du Nouveau Testament en 2 Thessaloniciens 2:8-9 (en caractères gras) :

« Et alors paraîtra l’impie, que le Seigneur Jésus détruira par le souffle de sa bouche, et qu’il anéantira par l’éclat de son avènement. L’apparition de cet impie se fera, par la puissance de Satan, avec toutes sortes de miracles, de signes et de prodiges mensongers »

« ואז יגלה הרשע אשר ימיתנו האדון ברוח שפתיו וישביתנו בהופעת ביאתו: את אשר יבוא כפי פעלת השטן ברב-כח ובאתות ובמופתי שקר: »

Puis verticalement, parallèle et contigu au terme l’impie l’expression il profanera. Puis deux occurrences verticales de Manu, puis l’expression il sera coupable (ou détruit).

Notons que tous les termes sont au masculin singulier, or Macron est effectivement un homme.

Légende (cliquer sur les termes « psychopathe » et « empereur romain » en hébreu pour accéder à la définition du dictionnaire) :

E. Macron (en lettres rouges) : ע מקרון

Paroles arrogantes que prononçait la corne (en lettres roses) : מליא רברבתא די קרנא ממללה

Psychopathe (en lettres vertes) : פסיכי

Empereur (encerclé en marron) romain (encadré en bleu ciel) : קסר רומי

L’impie (en lettres caca d’oie) : הרשע

Il profanera (encadré en bleu foncé) : יטמא

Manu (encerclé en rouge) : מנו

Il sera coupable (ou détruit) (encadré en marron clair) : יאשם

Nous ajoutons également ci-dessous un autre extrait traduit de l’ouvrage déjà cité Hebrew Insights From Revelation d’Eli Lizorkin-Eyzenberg et Pinchas Shir [21] (le mot hébreu « קסר » – César -, qui apparaît dans le tableau ci-dessus sur Macron, voulant aussi dire « empereur » (orthographe défective, ou araméenne)) :

(…)

Ainsi, la Bête de l’Apocalypse est-elle Néron ? Si nous considérons comment les lecteurs juifs du premier siècle traiteraient une telle référence, comment ils interpréteraient ce qu’ils lisent dans le message de Jean, alors cela semble être le cas. Mais Néron n’était-il pas mort depuis longtemps lorsque Jean écrivit l’Apocalypse ? En effet, Néron est mort en l’an 68 de notre ère. Pourquoi serait-il apparu comme la Bête persécutant les croyants à cette époque ? 

Nous pensons que Néron est devenu un nom en soi, peut-être comme Hérode est devenu un nom idiomatique utilisé pour désigner des souverains cruels et meurtriers, même dans les milieux non juifs. La guerre présidée par Néron a conduit à la destruction du Temple de Jérusalem, la plus grande tragédie que les Juifs du premier siècle pouvaient imaginer. Et ironiquement, Néron revendiquait un statut divin, s’attendant à ce que son nom soit honoré. Il était un symbole, l’épitomé de tous les méchants empereurs romains, un substitut du système romain païen et de sa légion de fausses divinités, l’antithèse de tout ce qui est bon et juste dans l’esprit des Juifs. Nous pensons que son nom était utilisé comme le nom d’Hitler est utilisé encore aujourd’hui, bien qu’il ait disparu depuis longtemps. Il est un symbole et représente tout chef de l’Empire romain méprisé. 

L’Apocalypse est pleine de symboles qui expriment des notions anti-impériales. Mais parce qu’ils sont présentés sous forme de symboles et de visions, leur signification est subjective, et seuls les « intimes » seraient sûrs de ce que ces symboles représentent. Il faut une bonne dose de conscience culturelle pour interpréter ces références uniques sous cet angle. »

Eli Lizorkin-Eyzenberg et Pinchas Shir. Hebrew Insights from Revelation [21].

11. La source ultime du pouvoir de l’Antéchrist est Satan (Apocalypse 13:2), et Satan a certaines capacités surnaturelles (Jean 12:312 Corinthiens 4:4Éphésiens 2:2). 

Ainsi, je m’attends à ce que l’Antéchrist possède certains traits inhabituels ou uniques. Un journaliste a suivi Macron pendant une semaine et a remarqué certains traits uniques qu’il exhibait, les documentant dans cet article. Il s’agit notamment du fait de ne pas défaillir sous une chaleur étouffante, de posséder une énergie implacable (pour laquelle il est réputé), de pouvoir regarder quelqu’un et de le convaincre de lui faire confiance avec ses «yeux bleus pénétrants» , de pouvoir réciter un grec parfait, et de jouer les deux parties dans un appel d’offre pour un journal.

Les anciens camarades de classe de Macron estiment «qu’il n’était pas comme les autres». Adolescent et jeune adulte, Macron traînait toujours avec des personnes plus âgées – dînant avec ses professeurs, évitant les avances des filles de son âge (pas d’égard à «l’objet du désir des femmes» –  Daniel 11:37), selon ses anciens camarades de classe.

Par ailleurs, il est notoire qu’il n’est pas possible qu’Emmanuel Macron ait pu gagner les élections présidentielles grâce à des atouts naturels tant son discours est creux, vide, sans programme, etc. En fait, la raison de sa réussite est simple. Inconnu il y a peu et faible orateur, Macron utilise une technique de manipulations des foules : l’attention sélective. Le modèle neurophysiologique de Gruzelier (1998) propose que l’attention sélective doit être engagée pour qu’un sujet se focalise lors des premières étapes de l’induction hypnotique, et que cette attention sélective est plus efficace chez les sujets hautement hypnotisables. De plus, certaines vision traditionnelles de l’hypnose soutiennent que l’ « état » hypnotique est caractérisé par une attention extrêmement focalisée. Toute la communication d’Emmanuel Macron se base ainsi sur le pouvoir de l’hypnose.

Dans une série de vidéos, le Dr Louis Fouché qui s’est illustré comme opposant au narratif covidien officiel, affirme que le gouvernement et les médias utilisent des techniques narratives propagandistes. Cette propagande emploie des techniques hypnotiques. Nous les connaissons bien par la pratique quotidienne de celles-ci au bloc opératoire. Il présente dans cette vidéo la séquence d’acquiescement ou Yes Set, grand classique de la boîte à outils de l’hypnose conversationnelle et de l’hypnose narrative. Dans un autre épisode, il explique la technique de la « Flash induction », une technique d’induction hypnotique extrêmement brutale qui consiste à créer une situation absolument inédite pour laquelle vous n’avez aucune résilience. Vous vous en remettez alors à la suggestion hypnotique de votre raconteur de sornettes, de votre bourreau. Dans un troisième épisode, il expose le « Pacing and Leading », une technique de conduite de la transe hypnotique qui consiste à suggérer, valider la réalisation de la suggestion, puis lui concaténer une nouvelle suggestion. Et ainsi de suite, dans une narration sans fin. Enfin, dans le dernier épisode, il aborde le sujet de la scansion traumatique qui est une cicatrice neuronale. Quelques petits mots clés scandés dans les médias ou par nos politiques chaque jour permettent de réactiver les mêmes voies synaptiques très simplement. Amenant une bouffée émotionnelle d’angoisse sans cesse renouvelée. Cela permet de prendre le contrôle sur les personnes traumatisées. C’est une technique hypnotique de manipulation. Il ne fait aucun doute qu’Emmanuel Macron utilise des dons hypnotiques pour subjuguer ses interlocuteurs et opposants.

12. L’Antéchrist dirigera une confédération de dix nations qui naîtra d’un Empire romain ressuscité (l’Union européenne) (Daniel 2:31-35 ; 40-45 ; 7:7-8 ; 19-24Apocalypse 13:1-217:3712-16). 

Emmanuel Macron sera président de l’Europe selon les journaux « La Tribune » et « Time ».

Il convient ici de comprendre que l’Europe est la nouvelle Babel qui s’érige contre Dieu.

Voici l’affiche officielle de promotion du Parlement de l’UE :

Nous voyons le peuple de l’Europe reconstruisant la tour de Babel. Voici quelques points à relever : en premier lieu, nous avons la confirmation que le bâtiment Louise Weiss a été vraiment inspiré par la tour de Babel. L’affiche a reproduit la tour exacte qui figure sur le tableau de Pieter Brueghel, faisant même en sorte d’inclure la partie démolie de la fondation. Il n’y a AUCUN doute ici. Deuxièmement, le slogan : « Europe : plusieurs langues, une seule voix » réfère à la confusion par Dieu des langues de l’humanité. Le Parlement aura donc pour effet d’inverser la punition de Dieu qui avait pour but de donner une leçon à l’humanité concernant l’idolâtrie et l’arrogance. Troisièmement, examinez attentivement les étoiles au sommet. Ne vous semblent-elles pas étranges ? Elles sont à l’envers, il s’agit en fait de pentagrammes inversés. Le symbolisme qui se cache derrière les pentagrammes est extrêmement profond et complexe, mais nous pouvons dire qu’un pentagramme droit fait référence à un « bon gouvernement », et qu’un pentagramme inversé fait référence à un « gouvernement maléfique ».

Cette affiche a été interdite en raison de protestations de la part de nombreux groupes. Elle est cependant extrêmement révélatrice et démontre la mentalité ésotérique des bâtisseurs du Parlement de l’Union européenne.

Cette statue, dressée devant le bâtiment Winston Churchill, réfère à la mythologie antique et dépeint une des représentations les plus anciennes de l’Europe (voir également ceci). Elle est inspirée d’un mythe où Zeus se déguise en taureau blanc afin de séduire la princesse Europa qui cueillait des fleurs. Quand elle s’approcha du taureau et monta sur son dos, le taureau saisit l’occasion pour s’enfuir avec elle, et finit par la violer (je vous donne la version non censurée de l’histoire).

La femme (qui représente l’Europe) qui est assise sur ce taureau est donc sur le point de se faire violer. Oui, plutôt bizarre. Quoi qu’il en soit, cela représente l’opposition du Bien et du Mal, du Soleil et de la Lune, et ainsi de suite, ce qui fait partie intégrante des cultes à mystères.

Fait intéressant, Macron a fait pression pour réunir une «coalition des bonnes volontés» des armées de l’UE formée d’un noyau de 10 nations afin de préparer les forces armées européennes à agir ensemble dans les situations d’urgence, et de contraindre la Grande-Bretagne à coopérer militairement quand elle quittera l’UE. Cette semaine encore, une coalition de dix armées européennes prêtes à défendre les frontières du continent a été dévoilée à Paris, quelques jours seulement après qu’Emmanuel Macron a appelé à une «véritable armée européenne» . Cf. Macron dévoile la coalition européenne de défense.

Autre fait remarquable, la France préside le Conseil de l’Union européenne depuis le 1er janvier 2022 et ce pour un semestre complet. Dans son mot de bienvenue publié le 9 décembre 2021, Emmanuel Macron, lui qui a travaillé à déconstruire la souveraineté de la France et qui s’oppose aux souverainismes nationaux, se pose en défenseur du « souverainisme » de l’Europe, de la « démocratie » et du « droit », concepts que le Président de la République s’est évertué à piétiner avec une rare touche de cynisme et de violence politique.

Nous vivons un moment européen. Face aux défis sanitaires et économiques, à l’affirmation de puissances hostiles, ou au dérèglement climatique, la meilleure réponse est européenne.

Notre Union ne réussit jamais aussi bien que lorsqu’elle défend ses valeurs et ses intérêts : la crise de la Covid-19 et ses conséquences sont venues le montrer une nouvelle fois. Dans cette crise, l’Europe a su faire face, fidèle à son modèle. Aucun espace politique n’a autant vacciné sa population, tout en faisant don du plus grand nombre de vaccins au monde, et aucun autre n’a protégé autant ses citoyens du chômage et des faillites. Les droits ont été respectés, les lois votées par des parlements élus, les juges ont contrôlé ces décisions. La solidarité et la démocratie, voilà le modèle européen.

Le 1er janvier et pour six mois, la France présidera le Conseil de l’Union européenne. La responsabilité de faire aboutir des projets et des lois pour l’Europe est d’abord une fierté. Celle de pouvoir dire : « nous agissons en Européens ».

Par ses mots et ses actions, la France prépare ce semestre depuis 2017. Parce que les Européens ne reprochent plus à l’Europe d’en faire trop, mais de ne pas faire assez, l’Union déploie depuis quatre ans un agenda de souveraineté. En matière économique avec l’endettement commun, écologique avec la neutralité carbone pour 2050, de défense avec le premier budget militaire commun, sociale avec la révision du travail détaché, l’Europe reprend déjà son destin en main.

Cet agenda pour une Europe souveraine sera accéléré avec la présidence française. L’Europe doit être au rendez-vous des grands défis économiques, éducatifs, migratoires ou militaires. La présidence française doit être un moment de vérité pour la régulation et la responsabilisation des plateformes numériques, le prix carbone aux frontières européennes sur les produits importés, sur les salaires minimums, sur notre relation avec l’Afrique.

La présidence du Conseil de l’Union européenne sera aussi un moment national. Parler d’Europe, en bien, en mal, dire ce qui lui manque, s’entendre sur ce qu’elle doit faire : voilà ce à quoi nous devons nous employer collectivement dans les prochains mois. Des centaines d’évènements, conférences, ateliers artistiques, débats, films, actions collectives seront organisés partout sur le territoire afin que chacun d’entre nous puisse emporter, dans sa vie quotidienne, un bout d’Europe.

La présidence française sera enfin un moment de projection. L’urgence du moment mais aussi le sens de l’avenir en ouvrant, dans le sillage de la Conférence sur l’avenir de l’Europe, de nouveaux chantiers européens : pour la jeunesse, sur la défense de nos démocraties et de nos valeurs, pour renforcer le sentiment d’appartenance à une culture et une histoire européennes que nous avons en partage.

C’est cette fierté et cette ambition que je veux porter, au nom des Français, pour les Européens.

Emmanuel Macron, mot de bienvenue, 9 décembre 2021.

13. L’Antéchrist aura une armée très puissante (Apocalypse 13:2Daniel 7:6). 

Emmanuel Macron souhaitait être à la tête d’une armée européenne. Le président français, Emmanuel Macron, a appelé lors de ses vœux la création d’une « véritable armée européenne » pour mieux protéger ce continent, rappelant son ambition de donner corps à une Europe de la Défense qui peine à émerger.

Dixit Macron :

« Face à la Russie qui est à nos frontières et qui a montré qu’elle pouvait être menaçante (…) on doit avoir une Europe qui se défend davantage seule, sans dépendre seulement des Etats-Unis et de manière plus souveraine. »

L’Initiative européenne d’intervention (IEI) a été lancée le 25 juin 2018 par la signature d’une lettre d’intention par les ministres de la défense (défense.gouv).

Lancée par le Président de la République, Emmanuel Macron, le 25 juin 2018, l’IEI regroupe 9 pays. La Finlande va également la rejoindre (22/06/2021 – Direction : DGRIS).

Daniel 7:24 : Les dix cornes, ce sont dix rois qui s’élèveront de ce royaume.

Et la bête qui était, et qui n’est plus, est elle-même un huitième roi, et elle est du nombre des sept, et elle va à la perdition. Les dix cornes que tu as vues sont dix rois, qui n’ont pas encore reçu de royaume, mais qui reçoivent autorité comme rois pendant une heure avec la bête. Ils ont un même dessein, et ils donnent leur puissance et leur autorité à la bête.

Apocalypse 17:11-13.

Le propre pays de Macron, la France elle-même, possède la première ou la deuxième armée la plus puissante de l’UE, étant donné que la France et le Royaume-Uni sont les deux seuls pays de l’UE qui possèdent des arsenaux nucléaires. De plus, la guillotine, qui est peut-être l’arme principale que l’Antéchrist réutilisera pour tuer les martyrs lors de la Grande Tribulation (Apocalypse 20:4), a été inventée en France et largement utilisée dans l’histoire française

Révolution française, guillotine, XVIIIe siècle

14. Je m’attends à ce que l’Antéchrist parle couramment au moins quelques langues largement parlées, y compris l’anglais. 

Macron parle en effet couramment l’anglais et a même accordé plusieurs entretiens en anglais aux médias britanniques. Il est souvent dit sur le ton de la plaisanterie que Macron parle mieux l’anglais que les Américains, y compris leur président, Donald Trump !

Je trouve intéressant que Macron parle régulièrement la langue la plus courante du jour. Un grand nombre d’Européens parlent (ou du moins comprennent) l’anglais comme seconde langue. Ainsi, est-il surprenant que Macron abandonne l’usage de sa langue maternelle au profit d’une langue commune ? Voici une vidéo de Macron parlant couramment l’anglais dans une interview.

Macron parle également l’allemand (et qui sait quoi d’autre ?)

15. L’Antéchrist va conclure et signer un traité de paix de sept ans avec Israël (Daniel 9:27). 

Fait intéressant, même Macron a voulu offrir à Israël « la sûreté et la sécurité » alors qu’il tente de faire ce que personne n’a pu faire jusqu’à présent : ramener la paix entre Israël et l’Autorité palestinienne. Macron souhaite être un facteur important dans les tentatives de reprise des pourparlers entre Israël et l’Autorité palestinienne, et les Français travaillent déjà sur leur propre plan de paix (voir ici).

Macron appelle à la reprise des pourparlers de paix israélo-palestiniens.

16. Trahissant l’état juif, l’Antéchrist cherchera la destruction des Juifs (Daniel 11:40-41). 

Fait intéressant, il y a quelques jours à peine, les Juifs français ont réagi avec horreur aux informations selon lesquelles le président Emmanuel Macron rendrait hommage au maréchal Philippe Pétain, le collaborateur nazi en disgrâce qui a autorisé la déportation de dizaines de milliers de Juifs vers des camps de la mort. Cf. L’éloge de Macron pour le collaborateur nazi le maréchal Pétain choque les Juifs français.

Philippe Pétain (à gauche) et Emmanuel Macron (à droite)

17. L’Antéchrist sera économiquement intelligent, contrôlant l’économie mondiale (Apocalypse 13:16-17). 

En outre, certains pensent que l’Antéchrist sera un Rothschild ou l’une de leurs marionnettes – un must pour tous les antéchrists avec leur amour de la domination financière mondiale. Macron est très intelligent sur le plan économique ayant travaillé pour la société bancaire Rothschild ! En 2008, Macron est devenu banquier d’investissement chez Rothschild et, étonnamment, a été promu d’un poste de débutant au sein du système bancaire Rothschild à un poste de partenaire après seulement deux ans. En une seule réunion, Macron a convaincu le banquier Rothschild de faire de lui un partenaire dans les trois heures suivant sa conversation, ce qui, selon le banquier, était sans précédent. Il y a conclu un accord de 10 milliards de dollars, gagnant son surnom, « le Mozart de la finance » , et a déjà un patrimoine de 32 millions de dollars bien qu’il ait dit qu’il n’était pas millionnaire dans son documentaire de campagne présidentielle.

En 2012, Macron quitte Rothschild pour devenir secrétaire général adjoint à l’Élysée pendant deux ans, puis est rapidement promu ministre de l’économie et des finances. L’ancien ministre et haut fonctionnaire Jean-Pierre Jouyet a déclaré à Macron au moment où il a pris ses fonctions de ministre de l’économie : «Vous êtes le patron maintenant.» Macron était en effet un génie financier.

18.  L’Antéchrist est également un politicien (Apocalypse 17:11-12). 

Macron est désormais sans doute le responsable politique le plus important en Europe aujourd’hui, en dehors d’Angela Merkel. Après avoir créé son propre parti En Marche (nommé avec ses propres initiales), puis remporté 350 des 577 sièges au Parlement français, le tout dans l’année suivant sa création, il explore maintenant la possibilité de créer son propre parti pour l’Union européenne et même sa propre école politique – Macron est considéré comme un génie politique !

19. L’Antéchrist changera les temps et la loi (Daniel 7:25). 

Depuis que Macron a pris ses fonctions, il a complètement changé de nombreuses lois du travail en France, ce qui a provoqué de multiples manifestations violentes, et il veut changer les horaires de travail du dimanche. Mais bien plus grave encore, depuis son accession au pouvoir, il a avancé l’agenda LGBT et accéléré l’acceptation politique et législative de la PMA et de la GPA. Avant même qu’il ne soit élu, il avait clairement désigné ses ennemis intérieurs dans sa Lettre ouverte aux LGBTI du 16 avril 2017 (téléchargeable aussi ici) [7].

« Près de quatre ans après le déchaînement de réactions anti-LGBTI ayant entouré le vote de la loi ouvrant le mariage et l’adoption aux couples de même sexe … »

« Si nous pensions qu’elle serait suffisante pour renvoyer les anti-LGBTI à un lointain souvenir, nous nous sommes collectivement trompés. »

« Ce combat contre la haine envers les LGBTI aura pour fer de lance  l’éducation. »

« Ce combat contre la haine envers les LGBTI aura pour bouclier la justice. »

«  des combats subsistent, je suis décidé à les mener … »

«  Vous l’avez compris, ma priorité sera la lutte implacable contre les anti-LGBTI dans toutes leurs dimensions. »

Le projet de loi relatif à la biothétique de 2019 prévoit l’extension de l’accès à la AMP/PMA aux couples de femmes et aux femmes seules, et de supprimer le critère d’infertilité.

20. L’Antéchrist crée finalement sa religion mondiale (Apocalypse 1718). 

Il y a de solides arguments pour affirmer que cette religion mondiale est l’Église catholique romaine (voir ici). Si tel est le cas, je m’attends à ce que l’Antéchrist ait une sorte de lien avec le catholicisme. Fait intéressant, Emmanuel Macron est né de parents libéraux, non religieux, mais a décidé qu’il voulait être baptisé catholique, à l’âge de 12 ans, malgré les appréhensions de ses parents. Il a ensuite reçu une éducation jésuite jusqu’à sa dernière année de lycée.

En juin, Macron a rendu visite au pape au Vatican (siège de l’Église catholique romaine) et s’est vu accorder une réunion inhabituellement longue à huis clos avec le pape François (sa plus longue réunion avec un chef d’État) au cours de laquelle ils ont discuté des questions d’immigration, des conflits au Moyen-Orient et de la future unité de l’Europe.

La France laïque maintient une stricte séparation entre l’Église et l’État, consacrée par la loi en 1905. Pourtant, dans un discours aux catholiques cette année, Macron a déclaré qu’il voulait « réparer le lien » entre l’Église et l’État. Cf. Macron déclenche un tollé en tendant la main à l’Église catholique dans la Cité du Vatican.

Le pape François rencontre le président français Emmanuel Macron au Palais apostolique le 26 juin 2018 dans la Cité du Vatican, Vatican.

Antiochos IV Épiphane, préfiguration de l’Antéchrist à venir (Daniel 8:9-14 ; 23-25 ;   11:21-35), agissait comme s’il était Jupiter et a même érigé une statue de Jupiter qui préfigurait la future abomination de la désolation (source). Voici une autre information plutôt intéressante : un général sous Antiochos IV Épiphane, nommé Ptolémée Macron (coïncidence ?), préfigurait également l’Antéchrist.

21. L’Antéchrist n’a d’égard pour aucun des «dieux» (Daniel 11:37), mais  «honorera le dieu des forteresses (Daniel 11:38).

Étant un catholique laïc non pratiquant, Macron n’a d’égard à aucun dieu (Daniel 11:37). Cependant, Macron a prétendu vouloir « gouverner COMME le dieu romain Jupiter » et, par coïncidence, le titre « dieu des forteresses » (Daniel 11:38) n’appartient à personne d’autre qu’au dieu romain Jupiter dont l’équivalent grec est Zeus (source) ! Macron veut également que son administration soit « jupitérienne » . Cf. : Macron déclare qu’il gouvernera comme un dieu romain.

Emmanuel Macron souhaite incarner un président « jupitérien ». Il l’avait assuré dès le mois d’octobre 2016. « La France a besoin d’un chef de l’État « jupitérien », déclarait-il dans un entretien à Challenges alors qu’il n’était encore que le candidat d’En Marche ! le mouvement qu’il avait lui-même fondé quelques mois plus tôt. « Ce n’est pas un simple dieu, c’est le roi des dieux« …… (Journal le point)

22. La source ultime du pouvoir de l’Antéchrist est Satan (Apocalypse 13:2), je m’attends donc à ce que l’Antéchrist soit entouré d’un symbolisme démoniaque

Le symbolisme démoniaque autour de Macron est très troublant : Macron est arrivé dans la cour du Musée du Louvre à Paris, le dimanche soir de sa victoire présidentielle, au son de la musique de l’hymne national de l’Union européenne « Ode à la joie« , une chanson sur Jésus (dans laquelle les paroles, chose non connue, parlent en fait de l’entrée dans le sanctuaire d’une déesse païenne et de l’union de tous les hommes dans la fraternité, par le pouvoir de la magie), au lieu de l’hymne national français lors de son discours de victoire présidentielle.

Le symbole de la pyramide et de l’œil qui voit tout est associé depuis longtemps à des groupes maléfiques tels que les Illuminati et les francs-maçons, qui ont voulu détruire l’Église évangélique et faire adorer Satan à la place. Macron a célébré sa victoire au musée du Louvre juste en face de la pyramide de verre composée de 666 losanges (n.d.t. : voir aussi ici), avec ce qui ressemble à des yeux illuminés qui le regardent du haut. Pour couronner la soirée, il a levé ses bras en forme de V ce qui, avec la pyramide apparaissant derrière lui, a formé une crête maçonnique. Voir la photo ci-dessous.

Certains sont prompts à contester le nombre de 666 losanges et argumentent que le chiffre réel officiel est de 673. Par exemple, Denis Roditi, dans un article de L’Express datant du 8 avril 2009 écrit ce qui suit :

Le mythe le plus tenace autour de la pyramide est qu’elle serait l’oeuvre du Diable. Les thèses conspirationnistes s’appuient notamment sur le fait qu’elle aurait été construite avec exactement 666 plaques de verre, chiffre usuellement associé à Satan. Encore récemment, dans le Da Vinci Code de Dan Brown, l’on trouve une allusion à ces obscures théories. Plusieurs décomptes ont été réalisé depuis, aboutissant à des résultats divers… 673 reste cependant le chiffre officiel.

Denis Roditi.

Mais un article de France Culture du 17 mai 2019 paru juste après le discours de victoire d’Emmanuel Macron fait bien état de 666 losanges :

« Mort à 102 ans, l’architecte Ieoh Ming Pei reste pour beaucoup celui qui a donné une nouvelle vie au Louvre grâce à sa pyramide et ses 666 losanges de verre plantés dans la cour Carré. »

Cécile de Kervasdoué et Éric Chaverou.

C’est finalement Dominique Setzepfandt dans son livre François Mitterrand Grand Architecte de l’Univers, qui nous livre la réponse définitive et nous donne de comprendre toute la symbolique ésotérique du Musée du Louvre :

La pyramide et le nombre de la Bête

On constate une curieuse divergence dans le dénombrement des losanges de verre composant la structure de la pyramide. Il y a effectivement 673 losanges ou parties de losanges. Dès sa conception, on a annoncé — claironné serait plus exact — le nombre symbolique de 666 panneaux de verre. Dans la brochure officielle La pyramide du grand Louvre on écrit 612 losanges à une page, puis 666 deux fois de suite quelques pages plus loin. Un autre guide de la pyramide du grand Louvre indique 603 losanges et 60 triangles alors que l’on compte un minimum de 66 triangles rien qu’a la base (72 si l’on inclut l’emplacement des 6 triangles de l’ouverture). Le livre d’art Le Louvre édité par Sélection du Reader’s Digest S. A., et daté de 1991, donne 666 losanges. L’indication constante de chiffres faux (et pour certains rigoureusement absurdes) et du 666 est destinée à avertir les initiés : la pyramide est consacrée à une puissance que l’Apocalypse de Saint Jean désigne comme étant la Bête (49), et elle contient des nombres cachés que l’on peut découvrir par la connaissance de l’arithmologie. Mais il ne faudrait pas pour autant confondre purement et simplement cette puissance avec le Diable de la tradition chrétienne. S’il offre, certes, ne serait ce que par son opposition systématique et irréductible à la volonté hégémonique de l’Église, une connotation antichrétienne son symbolisme est infiniment plus riche et plus complexe. Voyons ce qu’en dit le 33° René Guénon : « A propos du double sens des symboles, il est à remarquer que le nombre 666, lui aussi, n’a pas une signification exclusivement maléfique ; s’il est le nombre de la Bête, il est tout d’abord un nombre solaire, […] il est celui d’Hakathriel ou l’ange de la couronne. D’autre part, ce nombre est également donné par le nom de Sorath, qui est, suivant les Kabbalistes, le démon solaire, opposé comme tel à l’archange Mikaêl, et ceci se rapporte aux deux faces du Metraton ; Sorath est en outre l’anagramme de sthur, qui signifie chose cachée : est‑ce la le nom de mystère dont parle l’Apocalypse ? Mais, si sathar signifie cacher, il signifie aussi protéger ; et, en arabe, le même mot satar évoque presque uniquement l’idée de protection, et même souvent d’une protection divine et providentielle. » (50)

Toute la structure de la pyramide est en réalité un jeu arithmologique basé, par addition, multiplication ou représentation triangulaire, sur le nombre 6, nombre de la création, attribué ici, fort logiquement, à celui qui est le prince de ce monde. Notre première piste pour décrypter la pyramide du Louvre va être une inscription mésopotamienne de l’époque séleucide décrivant les dimensions de la tour de Babel et disant : La longueur est de 60, 60, 60 coudées, la largeur est de 60, 60, 60 coudées. Cette façon curieuse, et pour le moins inhabituelle, d’énoncer le nombre 180 s’applique aussi aux 18 losanges de la base, alignés horizontalement, et aux 18 losanges, alignés verticalement, composant les deux autres côtés de chaque face de la pyramide du Louvre. Nous avons ainsi quatre triangles dont les côtés sont de 6 + 6 + 6 losanges. Le périmètre de chaque triangle est alors de 6 + 6 + 6 losanges x 3 soit 54 losanges. Et, par le plus pur hasard, cette bonne vieille divinité rationaliste que nous allons souvent rencontrer, 54 est le nombre de l’âme du monde (51).

Sans ouvertures, la pyramide serait composée de 684 losanges (ou parties de losanges) soit 4 côtés de 171 (nombre divin de 18, ou, si l’on préfère la notation à la mode babylonienne : 6 + 6 + 6). Le jeu arithmétique se poursuit puisque l’addition des chiffres composant 684 donne : 6 + 8 + 4 = 18. L’entrée de la pyramide est de 11 losanges (ou parties de losanges). Nous retrouvons aussitôt le 6, unité de mesure de notre édifice, car 11 est le nombre générateur du nombre divin 66 (66 est aussi le nombre de triangles composant la base de la pyramide : 6 + 6 + 6 x 3 faces + 6 + 6 sur le face ouest = 66). Si l’on compte l’ouverture en triangles, et non plus en losanges, on obtient 20, nombre sacré maya, symbole de l’homme, que l’on découvrira plus tard dans les colonnes de Buren, car, aussi curieux qu’il y paraisse au premier abord, ces monuments si dissemblables obéissent aux mêmes règles ésotériques. Règles qui étant universelles vont nous permettre de faire par la suite des rapprochements étonnants entre Paris et le monde amérindien précolombien. (…)

Mais revenons aux carreaux de verre de notre pyramide. Nous savons qu’il y en a réellement 684 (si l’on s’en tient à une pyramide ans ouverture). Nombre qui peut s’écrire : 666 + 6 + 6 + 6. Nous allons obtenir une confirmation de l’indication astronomique du cycle de Meton par une opération très simple : 684 : 36 (62, le nombre du Ciel) = 19. Si l’on convertit en triangles les 171 losanges d’une face de la pyramide on obtient 324. Soit 36 (62) ennéades (57). Soit 3 fois le nombre de l’homme (108 c’est 12, 6 + 6, ennéades). On a donc encore un triangle d’une valeur de 108 par côté, soit : 36 + 36 + 36 (ou 62 + 62 + 62). Rappelons-nous que 36 est le nombre générateur du nombre divin 666. Et ce nombre est tout sauf négligeable, car les trente-six (les décans) sont les dieux ou démons de la sphère céleste : « Car de même qu’il (le soleil) divise par quatre les trois sphères au moyen du zodiaque de même divise-t-il aussi le zodiaque en douze puissances divines ; puis, à nouveau, divise-t-il chacune des douze par trois, créant en tout trente-six dieux » (58). Et rien de ce qui est humain n’échappe à leur pouvoir : Il y a un corps qui enveloppe tout l’ensemble du monde : représente-toi donc ce corps lui aussi comme de forme circulaire, car telle est la forme du tout. Représente-toi maintenant que, sous le cercle de ce corps, on été placés les 36 décans, au milieu entre le cercle total et le cercle du zodiaque, séparant l’un de l’autre ces deux cercles et pour ainsi dire supportant le cercle du tout et délimitant le zodiaque, transportés le long du zodiaque avec les planètes. Changements de rois, soulèvements de cités, famines, pestes, reflux de la mer, tremblements de terre, rien de tout cela n’a lieu sans l’influence des décans (59).

Dominique Setzepfandt. François Mitterrand Grand Architecte de l’Univers. La symbolique maçonnique des Grands Travaux de François Mitterrand. (Paris : Faits & Documents, 1995), pp. 39-44 [2]

Macron a prononcé un autre discours sur une scène en forme de pyramide maçonnique inachevée, ainsi que sur une scène éclairée en forme de croix. Dans son débat avec Marine Le Pen, Macron a fait le signe 666 de la main plusieurs fois, et même sur les deux mains en même temps. À d’autres occasions, Macron a fait le symbole de la main cornue satanique [4].

Par exemple, alors qu’il saluait la foule sur un balcon en compagnie du Président Donald Trump et de son épouse lors de leur toute première rencontre, l’on peut très nettement voir Macron effectuer un double “Cornuto” des deux mains, qui est un signe satanique bien connu largement popularisé par le Rock n’ Roll.

Il y avait même une photo d’Emmanuel Macron comme ayant des « cornes » rouges sur la tête sur la couverture du Time Magazine (voir ici). Était-ce délibéré ? Je l’ignore.

Enfin, Christine Boutin a également remarqué un détail insolite sur le jet-ski chevauché par Emmanuel Macron en mer au fort de Brégançon en août 2020. Elle est frappée par l’immatriculation de l’engin qui se termine par 666. Alors sur Twitter, elle reprend la photo et s’offusque « Étonnant ! Bizarre ! Ça recommence ce 666 qui réapparaît sur le jet-ski d’Emmanuel Macron. Amis twittos, il faudrait peut-être leur dire que ce chiffre a une haute signification négative, non ? »

En outre, Emmanuel Macron, selon Olivier Probst,

« s’est évertué à glisser subtilement dans ses interventions des signes symboliques et des chiffres ésotériques, comme l’incontournable nombre 666, ou d’introduire sa fameuse règle des 6, à savoir, pas plus de 6 au restaurant, pas plus de 6 à table, pas de groupe de plus de 6 dans la rue. De même lors de son discours initial relatif à la pandémie, il a répété à six reprises que nous étions en guerre ! »

« Quant aux amendes forfaitaires pour non-respect du couvre-feu, elles sont fixées à 135 euros, or si l’on additionne 135 plus son inverse qui est 531, on retombe encore une fois sur le nombre 666, qui plus est avec une peine fixée à 6 mois d’emprisonnement en cas de récidive. Quant aux masques, ils ont été imposés aux enfants dès l’âge de 6 ans. De même, lors de son allocution du 28 novembre 2020, Macron parlait des assouplissements des règles en permettant une sortie à une distance de 20 km pendant 3 heures, ce qui correspond à une vitesse de 6,66 km par heure… Il fallait le faire ! Et pour ce qui est de la plage horaire du couvre-feu, elle a été fixée de 21 h à 6 h, or, si on multiplie 6 x 6 x 6, on obtient 216 ! Logique ! En outre, pour dédommager la presse de ses pertes financières liées à la pandémie, le gouvernement lui a alloué une subvention exceptionnelle de 666 millions d’euros [5]. »

Un dernier signe d’allégeance occulte affiché par Macron vaut la peine d’être mentionné. Le 2 août 2021, le Président de la République postait sur son compte Instagram une vidéo de lui-même s’adressant aux jeunes pour les convaincre de se faire vacciner.
Ce détail n’aura pas échappé à certains, Macron arborait un t-shirt très particulier.

L’on pouvait distinguer sur celui-ci un logo blanc qui ressemblait à un hibou. Il s’avère que ce t-shirt fait référence au Bohemian Club (autrement appelé Bohemian Grove), société secrète américaine peu connue en France par laquelle sont passés de nombreux présidents dont Georges Bush (père et fils), Hoover, Nixon et Roosevelt.

L’on trouve ce fameux hibou dans la propriété du Bohemian Grove, lieu ou l’élite parmi les politiques américains se réunit chaque année pour faire des cérémonies autour de cette idole païenne.


En 2000, Alex Jones avait réussi a filmer une cérémonie où une effigie d’enfant (selon la version officielle, nulle n’a pu confirmer cette version) arrive dans une barque puis est brûlée sur un bûcher dans son documentaire « Dark secrets inside Bohemian Grove ». Cette scène fait référence aux sacrifices rituels d’enfants faits à la divinité Moloch.

Il est donc légitime de s’interroger sur le message qu’a voulu faire passer le chef de l’État qui, en termes de communication, comme on l’a vu plus haut, ne fait jamais les choses au hasard : les symboles ésotériques sont omniprésents, et les termes sont maîtrisés, choisis à dessein. Nous allons voir précisément dans le point suivant qu’il utilise une terminologie apocalyptique biblique.

23. L’Antéchrist imposera la marque de la Bête sans laquelle personne ne pourra ni acheter ni vendre.

Et il lui fut permis de donner une âme à l’image de la bête, afin que même l’image de la bête parlât, et qu’elle fît que tous ceux qui n’auraient point adoré l’image de la bête, fussent mis à mort. Et elle faisait que tous, petits et grands, riches et pauvres, libres et esclaves, prenaient une marque en leur main droite, ou en leurs fronts ; et qu’aucun ne pouvait acheter, ni vendre, s’il n’avait la marque ou le nom de la bête, ou le nombre de son nom. Ici est la sagesse : que celui qui a de l’intelligence, compte le nombre de la bête; car c’est un nombre d’homme, et son nombre est six cent soixante-six.

Apocalypse 13:15‭-‬18 (Martin).

Différentes interprétations existent de ce texte, mais il n’y a aucune raison de ne pas interpréter la marque comme étant une marque littérale, reçue sur le front ou la main droite, qui, selon Apocalypse 13:17, est « le nom de la bête ou le nombre [666] du nom. » L’un des signes associés au dernier antéchrist qui sera détruit par le souffle de Dieu est la marque de la bête qui serait requise pour acheter ou vendre des articles et serait exigée par l’Antéchrist.

Dans un entretien qui eut lieu le 16 avril 2020 avec Roula Khalaf, rédactrice en chef du Financial Times, Emmanuel Macron semble vouloir prévenir l’humanité contre l’arrivée de la « bête » évoquée dans la Bible et le Coran et qui est liée à l’eschatologie (science de la fin des temps). Il appelle à la « combattre » tout en demandant de « rester disponible à l’Événement pour qu’advienne quelque chose de nouveau ». Le fondateur du Centre Zahra, Yahia Gouasmi, se demande « pour quelle raison le président français a-t-il évoqué cette “bête” ? De quelle “bête” parle-t-il ? Dispose-t-il d’informations que nous n’avons pas à propos d’évènements eschatologiques imminents ? » 

Quoiqu’il en soit, il est certain que ce terme de « bête » n’a pas été employé par hasard et qu’à travers lui, le président français semble vouloir adresser un message clair. Mais à qui ? Celui-ci affirme au Financial Times que le coronavirus est le « moment de vérité » de l’Europe. Cet instant est passé presque inaperçu, car il fut tenu devant un média britannique. Que s’est-il passé très exactement ?

La rédactrice en chef du Financial Times pose une question concernant le coronavirus : 

« Est-ce que vous avez jamais imaginé que vous seriez dans une situation (confinement Covid-19), que vous devriez gérer une crise pareille ? Et qu’est-ce qu’elle change en vous mais aussi dans la façon d’être président ? »

Emmanuel Macron répond alors : 

« Ecoutez, d’abord je ne m’étais rien imaginé parce que je m’en suis toujours remis au destin. Et au fond c’est la chose la plus simple à faire. Et ensuite il faut être disponible pour le destin. Moi je suis dans un état de disponibilité pour agir. (….) Je crois que notre génération doit savoir que la bête de l’évènement est là et elle arrive, qu’il s’agisse du terrorisme, de cette grande pandémie ou d’autres chocs. Il faut la combattre quand elle arrive avec ce qu’elle a de profondément inattendu, implacable. Il faut le faire en restant conforme à ces principes et ne rien céder mais en étant, disponible à l’événement et pour qu’advienne quelque chose de nouveau, c’est aussi ça. »

Emmanuel Macron.

Chaulveron s’exclame sur son site internet : 

« La bête de l’événement ? Une étrange expression. Il dit qu’elle arrive et qu’elle agit par l’intermédiaire du terrorisme, du coronavirus et d’autres choc qui vont arriver. Il dit vouloir là combattre (on peut en douter).» 

Macron poursuit plus loin : 

« Je pense que ces moments-là sont ceux qui nous permettent aussi d’inventer, peut-être, quelque chose de nouveau pour notre humanité. (….) Je suis dans cet état d’esprit-là. Prêt à me battre et à essayer à la fois de porter ce en quoi je crois et d’avoir cette part de disponibilité pour essayer de comprendre ce qui paraissait impensable. Et il faut avoir cette part de disponibilité, y compris intellectuelle, je dirai personnelle aussi — sensible pour accepter l’événement tel qu’il arrive et ne pas le mettre dans une catégorie tout de suite parce que je pense que nos peuples le vivent aussi très profondément et nous sommes tous en train de le vivre comme ça donc il faut accepter que ça nous change. Sans pouvoir tout dire sur ce que ça change en nous. » [6]

Emmanuel Macron.

Il existe une transcendance, oui. Quelque chose qui dépasse. Qui vous dépasse. Qui vous a précédé, et qui restera.

Emmanuel Macron.

Gérard Davet et Fabrice Lhomme écrivaient dans leur livre Un président ne devrait pas dire ça…, paru en 2016 : 

« Les codes, Macron met un point d’honneur à les ignorer. Pour accomplir ce qu’il imagine être son destin, il est prêt à le forcer. Quitte à renier sa famille politique. Jusqu’à tuer le père. »

Voyons comment l’Écriture associe le gouvernement de la Bête aux vaccins.

Apocalypse 18.23-24 (en 3 versions différentes)

Version Segond

La lumière de la lampe ne brillera plus chez toi, et la voix de l’époux et de l’épouse ne sera plus entendue chez toi, parce que tes marchands (emporos) étaient les grands de la terre, parce que toutes les nations ont été séduites par tes enchantements (pharmakeia), et parce qu’on a trouvé chez elle le sang des prophètes et des saints et de tous ceux qui ont été égorgés sur la terre.

Version Martin

Et la lumière de la chandelle ne luira plus en toi ; et la voix de l’époux et de l’épouse ne sera plus ouïe en toi ; parce que tes marchands étaient des Princes en la terre ; et parce que par tes empoisonnements (pharmakeia) toutes les nations ont été séduites. Et en elle a été trouvé le sang des Prophètes, et des Saints, et de tous ceux qui ont été mis à mort sur la terre.

Version Chouraqui

La lumière de la lampe, non, elle ne brillera chez toi plus jamais. La voix de l’époux et de l’épouse, elle ne s’entendra chez toi plus jamais, parce que tes marchands étaient les grands de la terre, parce qu’en tes sorcelleries (pharmakeia) ils ont été égarés, les goîm, et là se trouve le sang des inspirés et des consacrés, de tous les égorgés de la terre. 

Pharmakeia vient de « pharmakeus«  = quelqu’un qui utilise ou prépare des remèdes magiques. (Il y a une seule référence dans la bible pour pharmakeus.)

Apocalypse 21:8 : « Mais pour les lâches, les incrédules, les abominables, les meurtriers, les impudiques, les enchanteurs (pharmakeus), les idolâtres, et tous les menteurs, leur part sera dans l’étang ardent de feu et de soufre, ce qui est la seconde mort.« 

Et pharmakeus vient de pharmakon : une drogue, une potion.

Il y a 3 références au mot pharmakeia dans la Bible :

Galates 5:20 : « l’idolâtrie, la magie (pharmakeia), les inimitiés, les querelles, les jalousies, les animosités, les disputes, les divisions, les sectes, animosités, les disputes, les divisions, les sectes,… »

Apocalypse 9:21 : « et ils ne se repentirent pas de leurs meurtres, ni de leurs enchantements (pharmakeia), ni de leur impudicité ni de leurs vols. »

et Apocalypse 18:23 (déjà cité plus haut).

Pharmakeia est issu de φαρμακεύω avec le suffixe -ία, -ía. Ce terme signifie drogue/médicament, poison, administrer à quelqu’un, une formulation toxique, un poison ou un filtre magique.

D’après le dictionnaire Anglais/grec de LSJ :

utiliser des enchantements, pratiquer la sorcellerie, ID rivière ayant utilisé ce charme sur la rivière, Hdt.7.114 .

c. acc. pers., purge , Hp. Aigu (Esp.) 55 ; . ἄνω κούφῳ φαρμάκῳ purge vers le haut, c’est-à-dire par un émétique, Id. De l’art. 67 , cf. Aph. 4.12 : —Pass., A purger , ib. 2.37 , Hommes. Son.Fr. 5 ; Arist. Sommet. 111a2 .2 droguer une personne, lui donner une drogue toxique ou stupéfiante

En regardant plus longuement le reste des mots associés à celui-ci : le remède trop fort, c’est-à-dire pire que le mal-tromperie-peur-douleur……( https://logeion.uchicago.edu)

D’après le dictionnaire Grec Monotonic :

μᾰκεύω: μέλ. -σω ( drogue )

I. 1. J’administre des drogues, à Plat. 2. utiliser la magie, les médicaments que ἐς τὸν ποταμόν , j’utilise quelque chose comme un leurre pour calmer la rivière , dans Hérode. II. sur demande, expulser , donner à un médicament toxique ou laxatif

II. purger : 1. Débarrasser de ce qui gêne.

2. LITTÉRAIRE Débarrasser (d’une chose mauvaise ou d’êtres considérés comme dangereux).

(Les non-vaccinés sont considérés comme dangereux.)

Dans le livre des Maccabées, dans 2 Maccabées 10:12-13, nous lisons : Quant à Ptolémée, surnommé Makrôn, le premier à observer la justice envers les Juifs, à cause des torts qu’on leur infligeait, il s’était efforcé de les administrer pacifiquement. Accusé en conséquence par les amis du roi auprès d’Eupator, il s’entendait, en toute occasion, appeler traître pour avoir abandonné Chypre que lui avait confié Philmétor, avoir passé du côté d’Antiochus Epiphane et n’avoir pas fait honneur à la dignité de sa charge : il quitta l’existence en s’empoisonnant (pharmakeuvsa).

Le prophète Daniel au chapitre 11 de son livre voit les rois du Nord et du Sud, nous les connaissons comme les dynasties Séleucides et Ptolémée. Daniel nous montre l’ascension et le règne d’Antiochus IV Epiphane, le roi séleucide qui régna de 176 à 164 av. J.-C. Il y avait un général du roi Antiochus de Syrie nommé Ptolémée Dorymène qui reçut le nom de MACRON.

Le pharmakós (en grec ancien φαρμακός, « celui qu’on immole en expiation des fautes d’un autre ») est la victime expiatoire dans un rite de purification largement utilisé dans les sociétés primitives et dans la Grèce antique.

Le mot a fini par prendre en grec, à l’époque classique, la signification de malfaiteur. Afin de combattre une calamité ou de chasser une force mauvaise et menaçante, une personne, parfois revêtue de vêtements sacrés, ou un animal était choisi et traîné hors de la cité, où il était parfois mis à mort. Cette victime sacrificielle, innocente en elle-même, était censée, comme le bouc émissaire des Juifs, se charger de tous les maux de la cité.

Son expulsion devait permettre de purger la cité du mal qui la touchait, d’où l’ambiguïté du terme grec qui, au neutre (φάρμακον, phármakon), peut signifier aussi bien « remède », « drogue », « philtre », que « poison » ou « venin ».

L’on prétend aujourd’hui que le seul remède contre la Covid est ce médicament/poison qu’est le vaccin.

L’on pourrait également traduire le verset par : « car par ton poison toutes les nations ont été trompées. »

Ce qui n’est pas anodin, c’est que Jésus lui-même utilise ce mot grec « pharmakeia » pour nous révéler que ces marchands (compagnies pharmaceutiques et autres marchands actuels) utiliseront un poison pour tromper le monde entier. Et ce mot est utilisé dans les passages dont il est parlé de Babylone (Babel) dans l’Apocalypse.

Dans la lutte contre la Covid-19, Emmanuel Macron a révélé sa position vis-à-vis des non-vaccinés, détaille le Canard enchaîné le mercredi 29 décembre 2021.

« Il faut prendre des mesures proportionnées. Dès lors que nous prenons des mesures qui touchent les vaccinés, nous nous éloignons de notre stratégie et de la ligne qu’on suit depuis le début : faire peser les contraintes sur les non-vaccinés reste notre boussole absolue. » 

Emmanuel Macron.

Ces propos ont été tenus le lundi 27 décembre 2021 par Emmanuel Macron, quelques heures avant le Conseil de défense sanitaire, a rapporté le Canard enchaîné le mercredi 29 décembre 2021. En ce sens, le président de la République a fait savoir qu’il avait l’intention de se montrer ferme vis-à-vis de la population française qui n’a encore reçu aucune dose de vaccin contre le Covid-19.

24. Emmanuel Macron voit son mandat présidentiel comme une mission spirituelle revêtue de transcendance, d’ordre messianique.

Dans un documentaire sur Emmanuel Macron intitulé “Ainsi soit Macron”, diffusé au lendemain de son élection le 8 mai 2017, celui-ci dit : « Je n’ai jamais eu le sentiment que je faisais une carrière. Et depuis que je suis rentré dans le champ politique, je vis ça comme une mission. » Le réalisateur du documentaire le relance alors : « Il y a une dimension de spiritualité ? », ce à quoi Macron répond : 

« Il y en a une. Et en tout cas la conviction qu’il existe une transcendance, oui. Quelque chose qui dépasse. Qui vous dépasse. Qui vous a précédé, et qui restera. »

Cette entrevue sur la notion de spiritualité avait été réalisée par Pierre Hurel, dans le cadre d’un premier documentaire sur Macron, diffusée le 21 novembre 2016 sur France 3, “Macron, la stratégie du Météore”. Cette séquence n’avait pas alors été retenue au montage. Hurel précise :

« J’avais remarqué en lui une dimension très “inspirée”, en rapport avec des forces qui nous dépassent, comme aurait dit Mitterrand. Du coup, je lui ai posé deux ou trois questions sur le sujet, et il m’a fait une longue réponse. » 

Cette vidéo a notamment été partagée sur Twitter par le cofondateur de Doctissimo Laurent Alexandre, qui écrit à son propos : 

« Le vrai Emmanuel Macron. Habité par une pulsion messianique et quasi religieuse Cette vidéo est fascinante. Comment ne pas se prendre pour un demi-dieu quand on a égorgé la totalité la classe politique française en six mois ? » [6]

« Selon les astronomes, le terme “météore” désigne un corps extraterrestre qui pénètre dans l’atmosphère en créant une traînée de lumière. La plupart des météores sont éphémères et se désagrègent vite. Mais certains, les plus massifs, peuvent modifier profondément le visage de notre planète. »
— Macron, la stratégie du Météore.

Macron pourrait-il être l’Antéchrist ?

La Bible indique clairement que l’impie (appelé l’Antéchrist) ne paraîtra pas tant que ce qui le retient n’aura pas disparu (2 Thessaloniciens 2:37-8). L’identité de cette chose qui retient l’apparition de l’Antéchrist a fait l’objet d’interprétions variées, les exégètes, commentateurs et théologiens tentant de comprendre les indications de l’apôtre Paul. Dans la perspective dispensationnaliste, il s’agit de l’Église habitée du Saint-Esprit qui sera enlevée juste avant l’apparition de l’Antéchrist. Mais étant postmillénaristes, nous ne soutenons pas une telle vue dispensationnaliste, et il nous semble beaucoup plus raisonnable de penser que cette chose est le témoignage de la loi de Dieu. La loi, en effet, lorsqu’elle est appliquée par l’État dans la sphère du gouvernement civil, est destinée à restreindre le mal et les effets du péché en imprimant sur la conscience des hommes la définition du bien et du mal, et en punissant ceux qui se livrent au mal. Quand le témoignage de la loi s’étiole, comme c’est le cas aujourd’hui, la société se livre à l’impiété sans aucun frein, et l’Eglise n’est plus le sel de la terre et la lumière du monde. Elle ne manifeste plus la justice de Dieu dans le monde, et laisse l’impiété gagner la sphère publique sans éprouver la moindre préoccupation, parce qu’elle a abandonné la loi au lieu de la tenir ensemble avec l’Évangile.

Donc, personne ne saura avec certitude qui est l’Antéchrist jusqu’à son apparition. Cela étant dit, nous pouvons spéculer, et cela semble certainement une possibilité qu’Emmanuel Macron soit l’Antéchrist (compte tenu des raisons explicitées dans cet article).

Bien que je ne veuille pas dire qu’il est l’Antéchrist, Macron semble certainement en être un prototype. Ainsi, le but de cet article est d’avertir les chrétiens de France afin :

  • qu’ils prennent position contre Emmanuel Macron, en votant pour un candidat qui s’oppose au système du progressisme mondialiste antichrétien (et nous affirmons qu’Eric Zemmour est le candidat le mieux placé pour assumer ce rôle) ;
  • qu’ils se préparent à vivre des tribulations. 

Que Macron soit l’Antéchrist ou non, il est certain que Macron atteindra une position de premier plan dans le leadership européen. Amir Tsarfati dit de Macron :

« Je crois que dans le cas d’Emmanuel Macron, je peux dire très clairement que nous avons en face de nous un jeune dirigeant ouest-européen qui a été préparé par le gang de « l’ordre mondial unique » pour cette position puissante. Je ne parle pas de le préparer à devenir l’Antéchrist, mais certainement au leadership de l’Europe. »

Cependant, si Emmanuel Macron devait réellement être l’Antéchrist, alors rien ne pourrait s’opposer à sa réélection en avril 2022. Et l’Eglise de Jésus-Christ devrait alors être prête à en subir les conséquences.

La France est à la croisée des chemins.

Que Dieu, dans Sa miséricorde, suscite un esprit de repentance et d’intercession dans Son Eglise, et l’amène sur ses genoux !

Notes

[1] https://www.christianevidence.net/2018/11/could-emmanuel-macron-be-anti-christ.html

[2] http://www.parolesdedieu.fr/macron-au-dela-de-jupiter-une-figure-dantichrist/

[3] « Les « Codes de la Bible » sont le nom donné aux séquences de lettres générées par ordinateur à partir de la Bible hébraïque. Des chercheurs enchaînent toutes les lettres, en supprimant les espaces entre les mots. Ensuite, au lieu de parcourir le texte au fil des lettres adjacentes (comme nous le faisons dans une lecture ordinaire), ils parcourent le texte en sautant un nombre fixe de lettres. Les séquences résultantes, connues sous le nom de séquences de lettres équidistantes (ou SLE en français), sont ensuite examinées dans le but de déceler des motifs qui ne peuvent raisonnablement pas être attribués au hasard. Les Codes de la Bible comprennent de telles séquences de lettres équidistantes. Les Codes de la Bible sont controversés parce que certains les ont présentés comme une capsule temporelle préprogrammée qui s’ouvrirait une fois que les humains auraient inventé les ordinateurs. Les auteurs humains de la Bible, écrivant bien avant l’avènement des ordinateurs, auraient été incapables d’introduire consciemment dans la Bible les motifs que les chercheurs travaillant sur les Codes de la Bible trouvent au moyen des ordinateurs. Par conséquent, ces motifs, s’ils ne sont pas attribuables au hasard, doivent provenir d’une intelligence non-humaine. En outre, si les motifs contiennent des informations sur des événements futurs dans l’histoire du monde, cette intelligence non-humaine devrait également posséder une pré-connaissance préternaturelle. Et puisque la Bible prétend être inspirée par un tel être, la question de l’identité de cette intelligence non-humaine trouve sa solution la plus évidente dans le Dieu des Écritures hébraïques, à savoir YHWH. Voici, en gros, la logique qui sous-tend les Codes de la Bible. » – William Dembski. La recension par le célèbre mathématicien et apologète chrétien William Dembski, un des chefs de file du mouvement du Dessein Intelligent, du livre de Jeffrey Satinover, Cracking the Bible Code, peut être lue ici.

[4] Main cornue : ce serait le chanteur de Black Sabbath Ronnie James Dio qui aurait amené ce signe, devenu ultra populaire, dans les concerts de métal. Attardons-nous sur le signe des cornes. Appelé aussi « signe de Satan », c’est « le » symbole des métalleux par excellence, si répandu qu’il est omniprésent lors des concerts, aussi bien côté scène que côté public. Il s’agit d’un geste de la main (droite ou gauche, ou les deux à la fois) qui consiste à brandir l’index   l’auriculaire, tandis que les autres doigts sont repliés, afin de simuler « les cornes du diable ».  https://www.guichetdusavoir.org/question/voir/54964

[5] Olivier Probst. Vaccination COVID-1984. Le crime parfait. Accessible en ligne : https://1984aumeilleurdelimmonde.blogspot.com/2021/04/vaccination-covid-1984-le-crime-parfait.html?m=1

[6] Guy Boulianne. Emmanuel Macron : « Notre génération doit savoir que la bête de l’événement est là, et elle arrive (….) Je suis dans cet état d’esprit-là. » https://guyboulianne.com/2020/06/07/emmanuel-macron-notre-generation-doit-savoir-que-la-bete-de-levenement-est-la-et-elle-arrive-je-suis-dans-cet-etat-desprit-la/.

[7] Franck Jullié. « Emmanuel Macron ou le retour de Dionysos. Esquisse d’un portrait philosophique ». http://sentinellenehemie.free.fr/franckjullie1.html.

[8] « Lors de sa dernière vidéo ou il se prend pour un influenceur du web, Macron portait un t-shirt du Bohemian Grove. » https://www.fawkes-news.com/2021/08/lors-de-sa-derniere-video-ou-il-se.html

[9] Nadia Puissant. « L’Antichrist serait-il déjà là ? » https://www.iltaime.com/single-post/l-antichrist-serait-il-d%C3%A9j%C3%A0-l%C3%A0

[10] Pierre Courthial. « Guillaume Groen van Prinsterer (1801-1876) : un Critique Protestant de la Révolution Française : Révolution ou Réformation ? » http://sentinellenehemie.free.fr/courthial1.html

[11] Jacob Prasch. « Le Midrash, interprétation de la Bible selon la sagesse juive ». https://racinequinousporte.wordpress.com/2013/05/27/le-midrash-interpretation-de-la-bible-selon-la-sagesse-juive/. Source originale : https://www.moriel.org/teaching/sermons-in-english/midrash-2.html

[12] Boris Johnson. The Dream of Rome. Harper Perennial, nouvelle édition de janvier 2007. 304 p.

[13] Grant Jeffrey. The Signature of God: Conclusive Proof That Every Teaching, Every Command, Every Promise in the Bible Is True. WaterBrook. 2010. 336 p.

[14] Mancall Wallbank et al. Civilization Past and Present. Scott, Foresman and Company. 6e édition, 1969.

[15] « De Jean-Michel à Brigitte Trogneux, mensonges à l’Elysée ». Brigittegate, le dossier Pressibus. http://pressibus.org/gen/trogneux/index.html#intro. Le dossier peut également être téléchargé au format PDF (140 pages) :

Par souci de rigueur, de vérité et d’honnêteté, il nous faut néanmoins mentionner une objection qui a été soulevée contre la thèse Brigitte Macron / Jean-Michel Trogneux : un article de Freelance Infos fait état d’un article de journal dans Le Courrier Picard, de l’année 1977, où André-Louis Auzière et Brigitte Trogneux annoncent la naissance de leur fille Laurence. Ce seul fait pourrait faire s’effondrer, s’il était avéré, toute la thèse de Natacha Rey, l’une des journalistes à l’origine de la controverse, puisqu’il prouverait :
1) Qu’André-Louis Auzière existe bien.
2) Qu’en 1977 (donc bien avant la transition de Jean-Michel Trogneux en Brigitte dans la thèse de Natacha Rey) il y avait déjà une Brigitte Trogneux, mère de Laurence Auzière.

Dans l’article de Freelance Infos, il y a bien une copie d’écran d’un (supposé) faire-part de naissance, mais il convient d’être très exigeant en une telle circonstance, et le doute ne peut être levé qu’à condition de voir l’original, car en cherchant dans les archives sur le site du journal, nous ne trouvons rien en rapport avec ce faire-part. 

Le supposé faire-part de naissance de Laurence Trogneux, publié dans Le Courrier Picard. Source : Courrier Picard, d’après Freelance Infos.

Il y a néanmoins une autre hypothèse possible que personne n’a envisagée : que Brigitte Trogneux ne soit pas Brigitte Macron. Brigitte Trogneux aurait réellement existé et serait bien la mère de ses trois enfants, mais elle serait décédée, et Jean-Michel en aurait profité pour prendre sa place et son identité, avec le consentement des trois enfants, peut-être parce qu’ils auraient eu besoin d’une présence féminine que Jean-Michel aurait d’autant mieux assumée s’il était réellement transsexuel.

[16] Voir également cet article de CNN (voir en français).

[17] Adrien Hilton. The Principality and Power of Europe. Dorchester House Publications. 160 p.

[18] Jeremy Rifkin. The European Dream: How Europe’s Vision of the Future Is Quietly Eclipsing the American Dream. TarcherPerigee. 2005. 448 p.

[19] Les documents MacronLeaks peuvent être intégralement téléchargés à partir de ce site.

[20] https://www.bfmtv.com/economie/replay-emissions/le-monde-qui-bouge/benaouda-abdeddaim-l-aspiration-du-premier-ministre-britannique-a-un-nouvel-empire-romain-au-dela-d-une-communaute-europeenne-30-06_VN-202206300047.html. Voir également : https://actubible.wordpress.com/2022/07/02/renaissance-de-lempire-romain/

[21] Eli Lizorkin-Eyzenberg et Pinchas Shir Hebrew Insights from Revelation (Jewish Studies for Christians Book 1). Jewish Studies for Christians. 2021. 160 p.

La Lumière du monde : Ce texte s’appuie en très grande partie sur les deux articles donnés dans les références [1] et [9], que nous avons abondamment complétés par des développements plus approfondis ou dont nous avons corrigé certains points.

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