Le terme "socialisme" est sur toutes les lèvres en ce moment. La plupart des candidats démocrates à la présidence l'acceptent et l'utilisent comme un terme politique bénin, tandis que les électeurs se tournent vers ce dernier dans l'espoir d'une société moins cynique ou cruelle. Ils voient les revenus considérables des super-riches et s'interrogent sur la justice économique. C'est une question légitime, mais comprennent-ils vraiment ce que représente le socialisme ?
Mois : février 2020
Les arguments totalement irréfutables contre le socialisme – par Lee Edwards
Lorsqu'une douzaine des meilleurs esprits du conservatisme s'attaquent au socialisme et le dénoncent comme étant la fraude utopique qu'il est, il faut être attentif.
Philosophie et théologie par Pierre COURTHIAL
Etrangement, ce que les philosophes "humanistes" n'ont jamais essayé, à savoir d'examiner de manière vraiment critique leur axiome de l'autonomie de la raison, ni les théologiens ni les philosophes "chrétiens", depuis les Pères jusqu'à Karl BARTH en passant pas Thomas D'AQUIN ne l'ont tenté dès qu'ils parlaient " philosophie". Tant et si bien que les théologiens et philosophes "chrétiens" ont pratiquement et malheureusement, presque toujours, accepté l'intouchable tradition philosophique de la raison autonome ce qui les a conduits à "accommoder", plus ou moins, leur philosophie... et leur théologie à la philosophie ou aux philosophies de leur temps.
L’enseignement chrétien et l’erreur de l’épanouissement du moi – par Jean-Marc Berthoud
Le courant pédagogique qui domine notre siècle se fonde sur l’idée que l’éducation et l’instruction de la jeunesse doivent aboutir à ce que l’on appelle son « épanouissement »le plus complet. Un tel but, à première vue fort louable, est devenu un cliché rongé à la base par des erreurs dont on peut faire remonter la source jusqu’aux écrits de Jean-Jacques Rousseau. Ce dernier fait partie d’une tradition pédagogique généreuse mais optimiste à outrance, qui a d’autres ancêtres : Fénelon, Comenius et même certains pédagogues de la Renaissance, et parmi eux, Rabelais et Montaigne.
Une étude montre que les pasteurs calvinistes/réformés sont plus susceptibles que les autres d’approuver le mariage homosexuel.
Il peut sembler contre-intuitif que les calvinistes, qui comprennent les grandes confessions réformées et presbytériennes, soient plus susceptibles d'approuver le mariage homosexuel, mais c'est ce que démontre l'étude de Lifeway.
Pourquoi une Terre jeune est nécessaire pour une saine théodicée : le problème de la mort et du mal dans le monde
L’absurdité des « souffrances de millions d'animaux inférieurs au cours d'âges presque sans fin » (selon l’expression de Darwin) et de leur mort subséquente n’est pas seulement le propre de la théorie de l’évolution, mais constitue une difficulté insurmontable au regard de la révélation biblique pour également tout modèle de création qui postule de longues ères géologiques et accepte la chronologie enseignée par la science moderne, en faisant émerger l’homme des millions d’années après la mort d’autres êtres vivants.
L’Accord du Siècle de Donald Trump et la fin du mensonge d’Oslo
le plan Trump a mis fin au cauchemar d’Oslo et au paradigme mensonger, qui a régné sur la politique étrangère américaine (et dans une large mesure, sur la politique intérieure israélienne) pendant 27 ans.
Marion Maréchal : « Nous voulons défendre une civilisation et non un marché ! »
Notre grande idée est que le conservatisme n’est pas une norme, ce n’est pas une doctrine fixe. Que c’est avant tout une disposition d’esprit. C’est pourquoi il existe tant d’expressions nationales du conservatisme. Le génie de chaque peuple a traduit à sa manière le besoin universel de conservation de la société.
Le président du Brésil professe sa foi en Jésus devant 140 000 jeunes lors d’une journée historique
Un jour historique a eu lieu au Brésil lorsque des milliers de chrétiens, dont le président Jair Bolsonaro, se sont réunis samedi pour déclarer que le Brésil appartient à Dieu.
Y a-t-il un lien entre le naturalisme philosophique et l’âge de la terre ? – Par Terry Mortenson
Alors que nos contemporains s'inquiétent à juste titre de l'impact négatif des thèses de l'évolution biologique, beaucoup de chrétiens ne prennent pas la mesure de l'emprise qu'exerce le naturalisme philosophique sur la géologie et l'astronomie. Ce naturalisme s'enracine dans l'histoire dès le XVIe siècle avec les travaux de Galilée et de Francis Bacon.